Deuxième édition de mon livre, avec 20% de contenu en plus, de 2022, résumant désormais 35 livres écrits par plus de 25 médecins, 7 docteurs en science (PhD), et 2 diététiciennes diplômées exerçant en milieu hospitalier. Peut-être le seul livre qui présente tous ces faits décisifs découverts par des médecins. Il est disponible en exclusivité ici, en version papier ou électronique.
Redécouvrant les travaux incroyables que ce biologiste et sa femme ont menés durant plus de 40 ans sur l’importance de l’alcalinité du corps pour être en bonne santé, j’ai retrouvé un de ses livres qui met en valeur l’utilisation du dioxyde de chlore, ou ClO2, ou popularisé par Jim Humble en tant que MMS, Supplément Minéral Miracle.
Ce livre a malheureusement été supprimé de la vente, partout, comme tous les livres sur le MMS, et heureusement j’en avais une version PDF en anglais, dont je vous traduis des passages ci-dessous !
Titre original : Chlorine Dioxide (CL02) As a Non-Toxic Antimicrobial Agent for Virus, Bacteria and Yeast (Candida Albicans). Robert O. Young PhD, DSc, ND, 10 déc. 2015. ISBN 1945874007, 9781945874000
Titre traduit : Dioxyde de chlore (CL02) en tant qu’agent antimicrobien non toxique contre les virus, les bactéries et les levures (Candida Albicans).
À propos de l’auteur (2015) : Robert O. Young, Ph.D., D.Sc., ND est un scientifique, microbiologiste, nutritionniste et naturopathe de renommée mondiale. Il s’adresse à des publics du monde entier sur la santé, le bien-être, la nutrition, la forme physique et le mode de vie et l’alimentation alcalins dans la prévention et l’inversion de toutes les maladies et maux. Sa théorie fondamentale, appelée la nouvelle biologie, suggère que le corps humain est alcalin par conception et acide par fonction. Qu’il n’y a qu’une seule maladie, un seul traitement et une seule santé et une seule condition physique. La seule maladie est la sur-acidification du sang puis des tissus due à une façon inversée de vivre, de manger et de penser. Le seul traitement, la seule santé et la seule condition physique sont atteints et maintenus grâce à un mode de vie et à un régime alcalins. Le Dr Young a publié plusieurs articles évalués par des pairs dans des revues renommées, notamment l’International Journal of Vaccines and Vaccination et l’International Journal of Complimentary and Alternative Medicine. Il est également l’auteur de 52 livres traduits en 29 langues, dont ses livres les plus vendus, Sick and Tired, The pH Miracle, The pH Miracle for Weight Loss, The pH Miracle for Diabetes et The pH Miracle for Cancer, avec plus de 5 millions de ventes de livres dans le monde. Le Dr Young est le père de 5 enfants et 5 petits-enfants et réside au pH Miracle, Ranch del Sol en Californie du Sud.
Résumé : L’utilisation d’une famille d’agents chimiques libérant des espèces actives d’oxygène efficaces contre les micro-organismes infectieux et les virus est décrit en mettant l’accent sur le dioxyde de chlore (CLO2), l’un de ces oxydes de chlore.
Sont également abordés l’ozone, l’hypochlorite, le périodate et les mécanismes d’action connus par lesquels certains globules blancs se fixent et éradiquent les micro-organismes infectieux et les bactéries primitives également appelées virus. Une explication de la mécanisation biochimique de l’acide CLO2 en tant qu’agent antimicrobien est présentée. Une attention particulière est portée aux Candida albicans, cytomégalovirus, virus de la poliomyélite, Herpès I et n, HTLV ITI et agents microbiens Pseudomonas répondant à l’application clinique de CLO2.
Il est sous-entendu que ces mécanismes biochimiques sont si fondamentaux que le développement des souches de bactéries et/ou de levures ne se produisent pas avec d’autres agents anti-infectieux.
Une liste limitée d’anomalies de santé qui répondent au CLO2 est discutée. Mots clés : Dioxyde de chlore, Ozone, Chlorite, Chlorate, Chlorure, Chlorite de sodium, Chlorure de sodium, Hypochloreux, Sodium, CLO2, Dioxyde de sodium, Legionella, Polio, VIH, SIDA, Bactérie de forme L, Candida albicans, mycoplasme, Levure, Champignon, Bactérie, Radicaux libres, Espèces toxiques pour l’oxygène, immunité, système immunitaire, réponse immunitaire, pléomorphisme, transformation biologique, cancer, Hépatite C, Herpès II, HTLV III, Cytomélagalovirus, Staphylococcus aureus, Pseudomonas.
Introduction et perspective historique
Le CLO2 est un composé inorganique composé d’oxygène, de chlorure, de potassium et d’or. Les composés d’oxygène et de chlorure sont formés à partir de deux éléments électronégatifs. C’est cette propriété chimique du CLO2 qui rend possible la libération d’oxygène naissant lors de la décomposition lors de son action en tant qu’agent antimicrobien. Certains aspects du système immunitaire cellulaire (globules blancs spécifiques) utilisent d’autres mécanismes dans la génération de dérivés oxygénés hautement réactifs (radicaux libres) dans le but de lutter contre l’invasion d’organismes étrangers. Sans ces mécanismes de protection fournis par le système immunitaire impliquant des dérivés de l’oxygène, la capacité à combattre l’infection est fortement altérée.
Le système immunitaire de nombreuses personnes, en particulier les personnes âgées, est déficient dans la capacité de fournir ces dérivés hautement réactifs de l’oxygène (radicaux libres) si nécessaires pour attaquer la grande variété d’envahisseurs viraux, bactériens et bactériens deviennent des cibles faciles pour les nombreuses maladies qu’ils produisent avec les symptômes qui les accompagnent.
L’utilisation de CLO2 aide les mécanismes de protection naturels du corps à contrecarrer ces agents infectieux qui, s’ils ne sont pas neutralisés de manière adéquate, conduiront très certainement à la maladie.
Et leur livre révolutionnaire vendu à des millions d’exemplaires dans le monde, disponible en plusieurs langues, ici en français, qui a permis à de nombreuses personnes de guérir de toutes sortes de maux :
Titre : Le miracle du pH alcalin: Des effets surprenants sur la perte de poids et la santé à long terme, de Robert O. Young (Auteur), Shelley Redford Young (Auteure)
Résumé : L’équilibre du pH corporel est la solution pour avoir une excellente santé, le poids idéal, les idées claires et un bon tonus général. Trouvez le juste équilibre en nourrissant votre corps avec des aliments capables de créer un environnement alcalin, et vous pourrez dire adieu à votre manque d’énergie, votre mauvaise digestion, vos kilos en trop, vos douleurs et tous vos maux.
Ce programme innovant et efficace, expérimenté depuis des dizaines d’années, agit sur la chimie du corps en le revitalisant et en aidant à conserver la santé ou à la retrouver.
Revu et augmenté, ce guide comprend les recherches les plus récentes et soulève le voile sur le miracle opéré par :
Les nutriments essentiels. Un programme nouveau qui vous indique les substances les plus importantes dont votre corps a besoin : la chlorophylle des légumes verts, les huiles et les sels minéraux indispensables.
L’eau alcaline et/ou ionisée. La plus efficace des boissons qui peut à la fois détoxiquer et revitaliser ; en boire en quantités.
La détox. Eliminer les impuretés régule la digestion et le métabolisme ; de nouvelles modalités de détoxication vous aideront à fortifier votre corps.
Les compléments alimentaires. Vous saurez comment les choisir, les acheter et en calculer le bon dosage.
L’activité physique. Tout un chapitre, flambant neuf, dans lequel sont décrits les exercices physiques qui aident à conserver le bon niveau de pH corporel.
Les aliments alcalins. Plus de 35 recettes ont été ajoutées, en mesure d’augmenter le pH et d’aider à équilibrer facilement votre corps avec des aliments comme les tomates, les graines germées, les noix, les citrons, les pamplemousses et les légumes verts
2024 est une année productive dans mon partage des informations sur la production d’énergie libre. Une série qui étale en détails les découvertes de dizaines d’inventeurs et scientifiques, dont peu de gens parlent, et surtout pas les médias dominants ni les institutions publiques.
Pourtant voilà les bases d’un nouveau monde, où tous les humains auront accès à de l’énergie à volonté, pour s’éclairer, se déplacer, se chauffer ou se refroidir, proprement, en prenant l’énergie depuis l’océan infini d’énergie négative qui peut être transformer en électrons pour être utilisés dans nos appareils et moteurs actuels.
Les nombreuses réplications de ces inventions sont les preuves qu’il s’agit de réalités bien concrètes !
Faites passer l’info, pour que le monde soit meilleur !
Bonjour, je travaillais en faisant des recherches d’études scientifiques sur l’utilisation du ClO2 contre les cancers, et voilà que j’ai trouvé que le MMS1 de Jim Humble est efficace contre le fléau des punaises de lit !! De quoi donner une alternative à de nombreuses personnes envahies par ces bestioles très dérangeantes.
Titre original : Gaseous Chlorine Dioxide as an Alternative for Bedbug Control. Published online by Cambridge University Press: 02 January 2015. Par Shawn G. Gibbs, John J. Lowe, Philip W. Smith and Angela L. Hewlett. Source ici
Titre traduit : Le dioxyde de chlore gazeux comme alternative au contrôle des punaises de lit
Résumé : Cette étude a évalué l’efficacité du dioxyde de chlore gazeux (ClO 2 ) pour l’extermination des punaises de lit (Cimex lectularius et Citnex hemipterus ). Les punaises de lit ont retenu l’attention en raison des récentes épidémies. L’éradication des punaises de lit est difficile et nécessite souvent une approche multidimensionnelle chronophage.
Les punaises de lit ont été exposées à des concentrations de ClO 2 de 362, 724 et 1 086 parties par million (ppm) dans une chambre d’exposition. La mortalité des punaises de lit a ensuite été évaluée. La capacité de ClO 2 à pénétrer dans divers espaces d’une chambre d’hôpital a été évaluée en utilisant Bacillus atropheus comme organisme de substitution.
Résultats : Des concentrations de 1 086 et 724 ppm de ClO 2 ont entraîné une mortalité de 100 % des punaises de lit évaluée immédiatement après l’exposition. Aucun œuf vivant n’a été observé pour les œufs exposés au gaz ClO2 . Le ClO2 à une concentration de 362 ppm pendant 1 029 parties par million d’heures (ppm-heures) a atteint une mortalité de 100 % 6 heures après l’exposition. Une concentration de ClO 2 de 362 ppm pendant 519 ppm-heures avait une mortalité de 100 % 18 heures après l’exposition. Jusqu’à une réduction de 6 log des spores de B. atropheus a été obtenue en utilisant des concentrations similaires de ClO 2 dans une chambre d’hôpital, ce qui indique que les concentrations nécessaires pour tuer les punaises de lit peuvent être atteintes dans toute une chambre d’hôpital.
Le ClO2 est efficace pour tuer les punaises de lit en laboratoire, et des concentrations similaires de gaz ClO 2 peuvent être obtenues dans une chambre d’hôpital. Le ClO 2 peut être éliminé de la pièce sans résidus.
Le dioxyde de chlore (ClO2) est un agent oxydant qui est un puissant désinfectant et virucide. Il est utilisé depuis le milieu du XXe siècle comme moyen sûr et efficace de tuer les bactéries, virus et autres micro-organismes. Il a une structure chimique unique qui le rend plus efficace que les autres désinfectants, et des études scientifiques récentes ont mis en lumière la formule du dioxyde de chlore et son fonctionnement. Dans cet article de blog, nous explorerons la science derrière le dioxyde de chlore, son histoire et son utilisation dans diverses industries.
Introduction au dioxyde de chlore
Le dioxyde de chlore est un gaz jaune-vert qui a une odeur piquante. C’est un puissant agent oxydant qui a de nombreuses utilisations industrielles, médicales et agricoles. C’est un sous-produit de la chloration de l’eau et il est utilisé pour désinfecter l’eau, ainsi que pour stériliser l’équipement. Il est également utilisé pour désinfecter les chaînes de transformation des aliments, pour contrôler les odeurs dans les usines de traitement des eaux usées et pour contrôler les algues dans les étangs et les lacs. Le dioxyde de chlore est également utilisé dans le traitement de l’eau potable et est un virucide efficace, ce qui signifie qu’il peut tuer les virus.
Quelle est la formule du dioxyde de chlore ?
La formule du dioxyde de chlore est ClO2. C’est une molécule composée d’un atome de chlore et de deux atomes d’oxygène. C’est un composé stable et hautement réactif, ce qui en fait un désinfectant et désodorisant efficace.
La molécule de dioxyde de chlore est hautement réactive et peut réagir avec une variété d’autres molécules, y compris les virus et les bactéries. En effet, la molécule de dioxyde de chlore contient un atome de chlore chargé positivement et deux atomes d’oxygène chargés négativement. Lorsque le dioxyde de chlore réagit avec d’autres molécules, il est capable de décomposer les molécules, ce qui détruit les bactéries ou les virus.
Le dioxyde de chlore est également capable de pénétrer les parois cellulaires des bactéries et des virus, ce qui lui permet d’attaquer directement les cellules et de les détruire. Des études ont montré que le dioxyde de chlore est particulièrement efficace pour tuer les virus, notamment le virus de la grippe, le VIH et l’hépatite C.
Comment le dioxyde de chlore est-il utilisé ?
Le dioxyde de chlore est utilisé dans une variété d’industries, y compris le traitement de l’eau, la transformation des aliments et l’agriculture. Dans le traitement de l’eau, le dioxyde de chlore est utilisé pour désinfecter l’eau et éliminer les contaminants. Dans la transformation des aliments, il est utilisé pour assainir et désinfecter les lignes de transformation des aliments. En agriculture, il est utilisé pour contrôler les odeurs dans les stations d’épuration et pour contrôler les algues dans les étangs et les lacs.
Le dioxyde de chlore est également utilisé dans le domaine médical. Il est utilisé pour stériliser le matériel médical et les surfaces, et il est également utilisé pour traiter l’eau potable afin de la rendre potable.
20 utilisations du dioxyde de chlore
Désinfection de l’eau potable municipale
Traitement de l’eau dans l’huile
Agent antimicrobien dans la transformation de la volaille
Laver les fruits et légumes
Blanchiment de la pulpe de bois
Désinfection des surfaces et du matériel en milieu médical
Salles de stérilisation et outils en milieu médical
Améliorer la santé bucco-dentaire
Tuer le Giardia
Tuer le Cryptosporidium
Blanchiment des graisses et des huiles
Transformation de la farine
Assainissement
Désinfection de matériel de pasteurisation
Désinfection d’échangeurs de chaleur
Désinfection de tours de refroidissement
Désinfection de surfaces dures
Tuer les micro-organismes pathogènes tels que champignons, bactéries et virus
Tuer les bactéries sporulées
Désinfectant de l’eau potable.
Voici un échantillon d’études scientifiques démontrant l’efficacité du dioxyde de chlore contre les virus :
Inactivation of SARS-CoV-2 Viruses by Chlorine Dioxide in Aqueous Solution.
Titre traduit : Inactivation des virus SARS-CoV-2 par le dioxyde de chlore en solution aqueuse.
Résumé : L’étude a révélé que 0,8 ppm de dioxyde de chlore en solution aqueuse diminuait le titre viral du SARS-CoV-2 de 1 log10 TCID50/mL en 3 minutes.
Chlorine Dioxide inactivation of the SARS-CoV-2 virus: A review of the literature.
Titre traduit : Inactivation au dioxyde de chlore du virus SARS-CoV-2 : Une revue de la littérature.
Résumé : L’examen a conclu que le dioxyde de chlore est une méthode de décontamination efficace pour le SRAS-CoV-2 et qu’il a le potentiel d’être utilisé pour la décontamination des surfaces, des tissus et de l’air.
Chlorine Dioxide Disinfection of SARS-CoV-2: Inactivation Kinetics and Surface Reactivation Studies.
Titre traduit : Désinfection au dioxyde de chlore du SRAS-CoV-2 : cinétique d’inactivation et études de réactivation de surface.
Résumé : L’étude a révélé que le dioxyde de chlore était efficace pour désinfecter le SRAS-CoV-2 en solution aqueuse, et que le taux d’inactivation dépendait de la concentration de dioxyde de chlore et du temps d’exposition.
Chlorine dioxide disinfection of SARS-CoV-2 on surfaces.
Titre traduit : Désinfection au dioxyde de chlore du SRAS-CoV-2 sur les surfaces.
Résumé : L’étude a révélé que le dioxyde de chlore était efficace pour désinfecter les surfaces du SRAS-CoV-2, avec une réduction allant jusqu’à 4 log10 TCID50/ml en 5 minutes.
Inactivation of Coronaviridae by chlorine dioxide gas.
Titre traduit : Inactivation des Coronaviridae par le dioxyde de chlore gazeux.
Résumé : L’étude a révélé que le dioxyde de chlore gazeux était efficace pour inactiver les Coronaviridae dans l’air et sur les surfaces.
Inactivation of SARS-CoV-2 on surfaces with chlorine dioxide gas.
Titre traduit : Inactivation du SARS-CoV-2 sur les surfaces avec du dioxyde de chlore gazeux.
Résumé : L’étude a révélé que le dioxyde de chlore gazeux était efficace pour réduire le SRAS-CoV-2 sur les surfaces, avec une réduction allant jusqu’à 3 log10 TCID50/ml en 10 minutes.
Chlorine dioxide gas inactivates SARS-CoV-2 in air and on surfaces.
Titre traduit : Le dioxyde de chlore gazeux inactive le SARS-CoV-2 dans l’air et sur les surfaces.
Résumé : L’étude a révélé que le dioxyde de chlore gazeux était efficace pour inactiver le SARS-CoV-2 dans l’air et sur les surfaces.
Inactivation of SARS-CoV-2 by chlorine dioxide gas in a simulated indoor environment.
Titre traduit : Inactivation du SARS-CoV-2 par le dioxyde de chlore gazeux dans un environnement intérieur simulé.
Résumé : L’étude a révélé que le dioxyde de chlore gazeux était efficace pour réduire le SRAS-CoV-2 dans l’air, avec une réduction allant jusqu’à 4 log10 TCID50/ml en 10 minutes.
Efficacy of chlorine dioxide on inactivating SARS-CoV-2 virus.
Titre traduit : Efficacité du dioxyde de chlore sur l’inactivation du virus SARS-CoV-2.
Résumé : L’étude a révélé que le dioxyde de chlore était efficace pour inactiver le SRAS-CoV-2 sur les surfaces, avec une réduction allant jusqu’à 4 log10 TCID50/ml en 10 minutes.
Les avantages du dioxyde de chlore
L’utilisation du dioxyde de chlore dans diverses industries présente de nombreux avantages. C’est un désinfectant puissant et capable de tuer une variété de bactéries, virus et autres micro-organismes. Il est également non toxique et sûr à utiliser dans la transformation des aliments, le traitement de l’eau et les applications médicales.
Le dioxyde de chlore est également très rentable. Il est facile à produire et peut être stocké pendant de longues périodes sans perdre son efficacité. Il est également relativement peu coûteux à produire, ce qui en fait une option intéressante pour de nombreuses industries.
L’histoire du dioxyde de chlore
Le dioxyde de chlore est utilisé depuis le milieu du XXe siècle comme moyen sûr et efficace de tuer les bactéries, virus et autres micro-organismes. Il a été utilisé pour la première fois aux États-Unis dans les années 1950 comme désinfectant de l’eau. Depuis lors, il a été utilisé dans une variété d’industries, y compris la transformation des aliments, le traitement de l’eau et les applications médicales.
Dans les années 1970, le dioxyde de chlore a été approuvé par l’EPA comme moyen sûr et efficace de désinfecter l’eau potable. Cette approbation a conduit à l’utilisation généralisée du dioxyde de chlore dans l’industrie du traitement de l’eau et il est maintenant utilisé dans de nombreux pays à travers le monde.
Comment faire du dioxyde de chlore
Le dioxyde de chlore peut être fabriqué de diverses manières, notamment en utilisant du chlorite de sodium et de l’acide chlorhydrique. Le chlorite de sodium est un composé hautement réactif qui peut être utilisé pour fabriquer du dioxyde de chlore. Pour fabriquer du dioxyde de chlore, le chlorite de sodium est combiné avec de l’acide chlorhydrique. Ce processus produit du dioxyde de chlore gazeux, qui peut ensuite être utilisé comme désinfectant.
Précautions de sécurité lors de l’utilisation de dioxyde de chlore
Le dioxyde de chlore est un agent oxydant puissant et doit être manipulé avec précaution. Il est important d’utiliser un équipement de sécurité approprié lorsque vous travaillez avec du dioxyde de chlore, comme des gants, des lunettes et un respirateur. Il est également important de garder le dioxyde de chlore à l’écart de la chaleur et des flammes, car il est hautement inflammable.
Il est également important de garder le dioxyde de chlore à l’écart des autres produits chimiques, car il peut réagir avec eux et produire des gaz toxiques. Il est également important de garder le dioxyde de chlore à l’écart des aliments et des boissons, car il peut réagir avec eux et les rendre impropres à la consommation.
Conclusion
Le dioxyde de chlore est un agent oxydant puissant qui est utilisé dans une variété d’industries, y compris le traitement de l’eau, la transformation des aliments et les applications médicales. C’est un moyen sûr et efficace de tuer les bactéries et les virus, et des études scientifiques récentes ont mis en lumière la formule du dioxyde de chlore et son fonctionnement. Dans cet article de blog, nous avons exploré la science derrière le dioxyde de chlore, son histoire et son utilisation dans diverses industries. Nous avons également discuté des avantages du dioxyde de chlore et de la façon de le fabriquer, ainsi que des précautions de sécurité lors de son utilisation.
L’énergie libre de Nikola TESLA : Enquête et traductions sur les réplications réussies
Mon premier livre sur les secrets découverts par Nikola TESLA est enfin publié, ça y est, pour 25€ vous avez accès à une mémoire papier de traductions exclusives de textes originaux publiés par TESLA, mais aussi des livres des plus grands spécialistes américains de ses découvertes, dans lesquels j’ai extrait et traduit les points clé qui permettent de comprendre et de reproduire les générateurs d’énergie radiante mis au point par le grand génie Nikola TESLA.
C’est vraiment la première fois que tous ces détails sont mis dans un livre, et en plus en français. Et si vous me soutenez en l’achetant, je pourrai passer plus de temps à écrire les prochains livres qui expliqueront avec photos à l’appui, les réalisations de John BEDINI, Donald SMITH et Stanley MEYER, qui ont tous développé leurs systèmes de génération et transformation d’énergie libre sur la base des travaux de TESLA. C’est épique, cela n’existe nulle part ailleurs, vous pouvez chercher, aucun autre auteur n’ a partagé autant d’informations essentielles après 25 ans d’étude du sujet.
Publié en février 2024, pour l’instant il n’est disponible que sur Amazon, car c’est la plateforme gratuite et accessible à ma portée aujourd’hui, je suis désolé pour celles et ceux qui la boycottent, faites une exception pour mes livres si vous pouvez !
Titre : L’eau comme carburant, électrolyseurs à sur-unité: Brevets depuis 100 ans et explications scientifiques
On connaît désormais les conditions pour produire et purifier le gaz d’eau, ou gaz de Brown, ou HHO, pour obtenir la sur-unité, c’est-à-dire pouvoir en tirer plus d’énergie qu’il en a fallu pour l’obtenir.
Cela se produit en matérialisant de l’énergie du vide quantique, par un procédé technologiquement simple et peu couteux, contrairement aux technologies nanométriques difficiles d’accès comme celles nécessaires pour matérialiser de l’énergie du champ de Higgs !
Des dizaines de brevets depuis 100 ans, et les explications scientifiques modernes de la sur-unité !
Une nouvelle vidéo de la mi-avril 2024 montre le Dr Laurent Schwartz expliquer comment le ClO2, le dioxyde de chlore, permet de lutter efficacement contre le cancer, précisément en consommant les excès d’électrons accumulés dans les cellules, et qui est une gêne qui contribue à la fermentation du sucre, le processus qui s’enclenche lors de la prolifération cancéreuse.
Une Sénatrice et une conseillère au Parlement Européen (la médecin Catherine Vierling) sont présentes derrière lui, démontrant l’intelligence et l’honnêteté de certaines élues françaises. C’est d’ailleurs sur la chaîne YouTube personnelle de Laurence Muller-Bronn , Sénatrice du Bas-Rhin, qu’est publiée cette vidéo. Son site internet officiel est ici https://www.muller-bronn.fr/ (Je n’ai personnellement aucune affiliation ni opinion politique).
Transcription de la vidéo par David :
Je voulais tous vous remercier madame la sénatrice, Catherine Vierling, conseillère au Parlement Européen, mesdames les assistantes et les gens avec qui j’ai l’habitude de travailler, Frédéric xxx, Olivier xxx, Mireille xxx, et ainsi de suite, et leur dire que je suis content de ce témoignage d’amitié.
Si notre système a marché c’est qu’on est fondamentalement des amis et qu’on a pas pour l’argent, mais qu’on a travaillé pour les malades.
Je voudrais aussi dire aux malades, et il y en a dans la salle, que je vais faire ce que je peux pour les aider, mais que nous avons tous nos limites dans ce qu’on peut faire.
Alors au fond je vais vous parler d’abord d’une vieille molécule qui s’appelle le bleu de méthylène.
Alors bleu, c’est simplement parce que les Allemands voulaient en 1876 pouvoir s’affranchir de l’indigo, qui est la couleur bleue qui était un privilège des anglais, ça venait des Indes. Donc ils voulaient pouvoir teindre en bleu, et Methylene c’est un jeu de mot allemand parce que ça ressemble à mythylène, et que les bleus de l’époque avaient des noms d’endroit, comme le bleu de Prusse ou ainsi de suite.
Le bleu de méthylène c’est 1876 c’est le plus vieux médicament qui existe, il est plus vieux encore que l’aspirine, il est plus vieux de quelques années que le paracétamol dont on a beaucoup parlé.
Et il a ceci de fascinant, c’est que c’est le début de l’industrie teinturière, et dans les années 1860, l’industrie chimique a trouvé le benzène, c’est une structure chimique déjà assez compliquée. Et du benzène vont dériver trois types de molécules, les médicaments dont je vous parlerai, mais aussi les explosifs et les insecticides.
Et quand vous mettez deux molécules de benzène l’une à côté de l’autre, vous obtenez le bleu de méthylène. Ce que voulaient les Allemands c’est une teinture, le bleu est bleu.
Il y a qu’à aller aux toilettes ici pour se rendre compte qu’il y a des gens qui en prennent et que ça teint bien en bleu les urines !
Le bleu a d’abord été essayé comme teinture, et très rapidement Herlich, qui aura son prix Nobel dans les années 1900 quelque chose, comprend qu’il peut teindre les tissus, et qu’on peut commencer à voir quelque chose dans les tissus. Et en particulier les parasites, et il voit en 1885 que le falciparum qui est l’agent responsable de la malaria (Plasmodium falciparum est l’espèce la plus pathogène et responsable des cas mortels) peut-être teint par le bleu de méthylène. Et il a l’idée de traiter le paludisme au bleu de méthylène, parce qu’il voit que le falciparum n’aime vraiment pas le bleu de méthylène, parce qu’il meurt.
Et il montre dans les années 1880 le premier cas de maladie guérie par le bleu de méthylène, c’est en l’occurrence des accès palustres (manifestation clinique la plus typique du paludisme).
Et puis vous allez avoir dans cette période, énormément de maladies qui vont être testées au bleu de méthylène. Il va y avoir la dépression, on va y revenir, des premiers cas de
neurodégénérescence, mais surtout les maladies infectieuses. Et ils vont traiter, avec une forme de succès, la lèpre, la tuberculose, et évidemment le paludisme. Tout ça marche, en tout cas pas mal, et on retrouve, quand on va à la librairie nationale de France, des centaines de livres sur des maladies traitées entre 1880 et 1920 par le bleu de méthylène.
Il note déjà à l’époque que l’effet secondaire du bleu de méthylène c’est l’irritation vésicale et que les gens ont besoin d’aller uriner de façon plus fréquente, mais que ça peut se lever à l’atropine ce qui est un traitement qu’on ne fait plus nous aujourd’hui.
Là où je veux en venir et ce qui est important, c’est ce papier, ce papier est écrit en 1906 par un dénommé Abraham Jacobi, qui est quelqu’un qui était assez important, vu qu’il était président de l’Association américaine des pédiatres, et l’article dit au fond, ça marche dans tous les cancers. Vous mettez du bleu de méthylène et ça arrête les tumeurs, ça ne les guérit pas, parce que les tumeurs ne disparaissent pas, mais elles arrêtent de pousser.
Et il prend le cas d’une femme qui a un cancer de l’ovaire, une grosse masse qui a essémé au péritoine. Il met du bleu de méthylène, alors les doses ne sont pas totalement claires, parce que il parle de granule, si j’ai compris une granule c’est 60 mg, donc il doit donner des doses de l’ordre de 500 mg de bleu de méthylène. Et cette tumeur quelques années plus tard, à l’autopsie, sera de la taille d’une noix. Dans la salle il y a un autre médecin qui vient de Georgie qui dit que lui aussi il a traité des patients, en l’occurrence des cancers ORL, puis des cancers abdominaux, et qui eux aussi ont répondu au bleu de méthylène.
Et ça vous allez le retrouver dans la littérature, donc ce papier il est de 1906, c’est au Journal of American Medical Association, c’est un journal qui en tout cas aujourd’hui est prestigieux. C’est un papier qui est bien fait, évidemment il y a pas de biopsie, parce qu’on n’en faisait pas à l’époque, évidemment il y a pas de scanner ou d’IRM ou de PETSCAN, mais enfin je veux dire il n’y a pas de raison non plus qu’il se soit trompé, et surtout il y a toute une littérature que je n’ai que partiellement fouillée de textes de la même époque qui émane d’une culture d’origine allemande. C’est là où il y en a le plus, mais moi je n’arrive pas à lire les les textes allemands anciens parce qu’ils sont en gothique, et que c’est au-delà de mes capacités, bien que je sois Alsacien.
Mais il y a un papier, il y a une thèse en français par un docteur Rambaud, qui exerçait à Bordeaux en 1893, qui dit lui aussi que le bleu marche. Donc on se retrouve avec la redécouverte de publications anciennes concordantes et multiples, disant que le bleu de
méthylène marche.
Alors ce que nous on a fait, avec le groupe que j’anime et qui me porte, c’est qu’on a essayé un petit peu d’y comprendre quelque chose, alors c’est comme toujours, on peut être soit dans le dogme, soit à l’extérieur, on peut être dans le système, on peut être “refusnique”, ça c’est des choses qu’on ne choisit pas.
Mais au fond il y a deux grands sujets majeurs en cancérologie, un, la cellule maligne doit être tuée, ça c’est une idée qui date grosso modo des maladies infectieuses, on guérit les maladies infectieuses, le cancer ça doit ressembler aux maladies infectieus, faut tuer le cancer, et c’est toute l’idée de la chimiothérapie anticancéreuse.
Et en 1942 à l’Université de Yale, on commence à utiliser pour la première fois des dérivés des gaz de combat, et on voit que le traitement fonctionne. Le malade qui a un lymphome, il y a une biopsie là par contre, et de fait ce lymphome régresse, mais très rapidement la tumeur repousse, le malade meurt, et en plus il a les effets secondaires.
Et ça c’est quelque chose qu’on retrouvera tout le long de l’histoire de la cancérologie moderne, des réponses tumorales, des effets secondaires et malheureusement fréquemment mais pas toujours heureusement, des reprises tumorales.
Et le deuxième grand dogme c’est, comme c’est compliqué, nous avons les outils par l’informatique à l’époque, l’intelligence artificielle aujourd’hui, pour démêler tout ça. C’est l’histoire du programme génétique, on s’imagine que nous sommes codés génétiquement, que tout ce qui nous arrive à une explication génétique.
Alors c’est vrai jusqu’à une certaine limite, la couleur des yeux et des cheveux, ou tout ça c’est génétique, mais les maladies les plus courantes n’ont probablement pas d’explication génétique majeure.
Et on s’imagine que c’est pas parce qu’on l’a pas trouvé qu’elle n’est pas là, et nous nous retrouvons donc dans deux paradigmes qui vont être majeurs, il faut tuer les cellules, et on va arriver à tuer les cellules uniquement quand on aura compris toute la subtilité du programme génétique.
Et ça c’est c’est le dogme, et comme toujours dans le dogme vous avez des “refusniques”, qui disent que c’est pas comme ça que ça se passe, que c’est probablement plus simple, que le cancer n’est pas une maladie complexe, mais au fond tous les cancers présentent les
mêmes caractéristiques.
Le premier “refusnique” qui était tout de même prix Nobel, Otto Warburg, qui fait partie de la grande école des chimistes allemands des années 1910 -1950, il comprend que les cellules
cancéreuses captent le sucre, que ce sucre les alimente, mais qu’elles ne peuvent pas les brûler, ça s’appelle en français courant une fermentation.
Les cellules fermentent, elles font de la masse, et comme elles font de la masse ça polymérise, comme aurait dit Romain qui est là-bas.
Et la cellule chauffe un peu et elle se divise en deux. Donc Otto Warburg, comprend dans les années 20, que tous les cancers sans aucune exception, et c’était un sujet de d’intense débat avec Frédéric Bouillot, que tous les cancers fermentent, et que c’est probablement pour cela qu’ils font de la masse.
Le deuxième “refuznic” c’est Albert Szent-Giorgyi, alors c’est un nom impossible à retenir, il est lui aussi prix Nobel, il découvre dans les années 1930 la vitamine C, il est capable d’isoler la vitamine C dans le paprika, parce qu’il vient de Hongrie et qu’en Hongrie il n’y a pas d’orange, mais il y a du paprika, et que le paprika a beaucoup de vitamine C dedans. Donc il est quelqu’un d’extrêmement connu par sa découverte de la vitamine C. Il est obligé de fuir la Hongrie, et fuyant la Hongrie va aux États-Unis, et il ne trouve de place que dans un institut de biologie marine, où il se met en tête de comprendre le cancer.
Et ça explique aussi pourquoi ça n’a pas eu d’avenir, c’est que se retrouvant dans un institut de biologie marine, il n’y avait pas de cancérologue à côté, il n’y avait pas de malades, et donc ce qu’il a fait a été oublié. Ce qu’il comprend et c’est fondamental, c’est qu’une cellule quand elle est bien nourrie elle est là pour se diviser, la cellule normale quand elle a à manger elle se divise.
Et il comprend quelque chose de fondamental, qu’a re-compris Romain, c’est que la raison de la division cellulaire, c’est l’excès d’électrons.
Je va faire maintenant un petit arrêt pour réexpliquer un petit peu la biologie, je ne vais pas rentrer dans les détails, mais au fond, vous ou moi ou Anne-Catherine ou n’importe qui d’autre, nous fonctionnons par une réaction chimique, nous prenons des électrons, des protons à l’alimentation, nous les lions à l’oxygène, et nous faisons de l’eau. Vous et moi faisons un demi litre d’eau par jour, et c’est la réaction chimique la plus puissante qui soit, et si vous voulez envoyer une fusée sur la lune, c’est avec des électrons et des protons, vous mettez une allumette et c’est comme ça que ça part, ça s’appelle la respiration cellulaire.
Et vous respirez, vous faites votre demi litre d’eau par jour, et c’est ça qui vous donne l’énergie. Et en biologie tout est fait pour ralentir le système, parce que si vous le faites à tout berzingue, vous explosez !
Et si ça ne se passe pas, si vous ne respirez pas, eh bien ça s’appelle la maladie, et la maladie a un autre mot, un autre synonyme, c’est la fermentation.
Dans l’ensemble des maladies vous faites de la masse, vous faites de la masse parce que vous ne brûlez pas bien, et cette masse va faire qu’une cellule se divise en deux, ça s’appelle de la fermentation. Donc la biologie peut-être comprise par deux choses, la respiration, l’oxydation c’est la vie, tout va bien, vous brûlez, vous faites de l’énergie, de l’ATP, dont on parlait plus avant, soit vous fermentez, et si vous fermentez vous faites de la masse, et si vous faites de la masse, les problèmes arrivent, que ce soit de la masse cancéreuse, que ce soit de la masse sous forme de dépôt amyloïde, ou ainsi de suite.
Comprendre ce point crucial est fondamental, et qu’est-ce que va faire le bleu, il va empêcher de faire de la masse.
Je voudrais juste revenir parce que c’est fondamental, après je reparlerai sur la clinique, c’est un exemple simplifié, ne rentrez pas dans les détail c’est illisible, mais ça c’est le cœur du mécanisme cellulaire, c’est le cycle de KREBS. Alors on peut vous le faire horriblement compliqué avec un enzyme qui fait guili guili à un autre enzyme, qui vous donne un nom barbare et impossible à faire, mais en réalité tout ça c’est que de l’électronique.
Et le cancer, c’est une suite de court-circuits électroniques. Donc on se retrouve avec deux choses, un problème intellectuel, combien d’électrons je dois enlever et ainsi de suite, et des malades qui sont ici, là et maintenant. Et au fond comment peut-on enlever cet excès d’électrons qui est responsable de la fermentation, et comme disait Szent-Giorgyi, et donc de la prolifération ?
Alors comment enlever ça, premièrement vous mangez moins, d’où l’idée de mettre les malades en régime hypoglycémique, cétogène, vous en avez des variations. Moi j’aime bien le lait de vache, quoi qu’on raconte, on a une discussion à midi, il est où, il est là, ouais, on est pas tout à fait d’accord.
Troisième point, relancer la mitochondrie, vous pouvez la relancer par du sport, de la gymnastique, du footing ou des médicaments, type acide lipoïque, hydroxycittrate, et surtout enlever les électrons.
Et vous pouvez enlever ces électrons de deux façons, que moi je sache, c’est un, le bleu de méthylène, le bleu de méthylène prend des électrons, change de couleur et il les envoie à l’extérieur de la cellule, et ça explique probablement ce papier de 1906.
Et l’autre chose qui pour moi est redoutablement efficace c’est le dioxyde de chlore.
Alors le bleu de méthylène, je vous rappelle c’est 1876, efficacité dans à peu près toutes les maladies, d’autant plus qu’une grande partie des médicaments que vous connaissez aujourd’hui, sont des dérivés du bleu méthylène, les sulfamides, les diurétiques, les anti dépresseurs, la chlorpromazine, la chloroquine dont on a beaucoup parlé, tous ces médicaments viennent du bleu de méthylène.
Et l’autre médicament qui peut vous enlever ces électrons, c’est le dioxyde de chlore. Alors le dioxyde de chlore est connu parce que c’est un désinfectant, qui lui ne date pas de 1876 mais de la Révolution française, donc qu’il est plus âgé. Il est utilisé pour aseptiser l’eau que vous buvez ou les piscines pour les bourgeois qui ont des piscines, mais pris à bonne quantité, à bonne dose, c’est redoutablement efficace dans le traitement du cancer.
Donc les patients parleront par eux-mêmes, c’est un des patients qui est là, vous voyez que son cancer de la prostate, vous voyez que le PSA monte, c’est une rechute, excusez-moi j’arrive pas, bon enfin vous voyez que ça monte jusqu’au moment où on met du dioxyde de chlore et du bleu de méthylène, de l’acide lipoïque et de l’hydroxycytrate, du fondant Suisse parce qu’il faut bien vivre, et de la marche.
Et vous voyez aussi que ces courbes sont fondamentalement fluctuantes, que ça monte et ça baisse, mais qu’au moment où on a mis ça, le cancer récidivant après une intervention dont il vous parlera lui-même.
Voilà, donc là maintenant se pose la question de l’étape suivante, l’impression que j’ai qui n’est qu’un terme d’impression, c’est que quand le cancer n’est pas sur un mode inflammatoire majeur, si le malade n’est pas en train de mourir, ou s’il n’a pas eu des lignes de chimiothérapie les unes derrière les autres, on arrive fréquemment, et je ne peux pas définir le terme de fréquemment, à le stabiliser ou le ralentir.
Donc se pose la question d’un essai thérapeutique, alors vous savez quand on n’est pas totalement dans les clous, malgré l’aide de ma femme et des autres, on y est pas arrivé, mais Mireille Suma qui est une mathématicienne à Dauphine, avec qui j’ai bossé, dit qu’un essai devrait comporter 20 à 40 malades pour démontrer ça.
Tout ça pour vous dire que ça n’est pas du domaine de l’insurmontable, donc probablement le cancer était compris en 1906, probablement le traitement était là, on peut arriver à relire ce qu’ont dit les anciens, avec de la physique quantique, avec des électrons, et avec du travail.
J’ai oublié de vous dire qu’en début d’année nous avons publié, grâce à la Fondation, un travail qui confirme que le bleu de méthylène ralentit la croissance des tumeurs sur les souris canadiennes, donc on ne sait pas ce que ça donne sur les souris françaises.
Mais tout ceci donne une haute probabilité que c’est par là que ça se joue, évidemment on est dans une période de transition, évidemment moi je suis le plus à l’aise devant les équations, j’aime beaucoup ça les malades, c’est déjà plus dur pour moi, et au fond je ne sais pas comment jouer le coup suivant, qui est évidemment d’une validation de tout ce que je suis en train de vous raconter, et d’une dissémination de tout cela. Je vous remercie.
Titre : L’eau comme carburant, réacteurs et plasmas à surunité : GEET, Gillier-Pantone, Plasmatrons, Fusion Froide, Pyrolyse et Gaz synthétiques, Explosion de l’eau
Broché – 24 février 2024, de David Giquello (Auteur)
Découvrez les secrets révolutionnaires de l’énergie du futur dans ce livre captivant sur l’utilisation de l’eau comme carburant à travers les plasmas chauds et froids. Grâce à des avancées scientifiques contemporaines, il est désormais possible de générer de l’énergie excédentaire en utilisant du plasma ou en générant du plasma dans l’eau, ouvrant ainsi la voie à ce que l’on nomme la surunité énergétique. Imaginez pouvoir extraire plus d’énergie d’un dispositif qu’il n’en faut pour le faire fonctionner !
Le plasma permet la matérialisation de l’énergie du vide, qui est donc ajoutée à celle de notre espace-temps. Il y a dans le vide assez d’énergie dans une tasse à café pour bouillir tous les océans de la Terre. Des technologies à la fois simples et économiques permettent de pomper une infime partie de cette immense énergie du vide qui permet de faire fonctionner nos véhicules.
Répliqués par des chercheurs et bricoleurs du monde entier, les systèmes utilisant le plasma, comme les réacteurs GEET et le SPAD et le Gillier-Pantone, la Fusion Froide, la pyrolyse au plasma qui produit des gaz synthétiques, l’explosion peu connue de l’eau et d’autres découvertes sont détaillées dans ce livre, résultat de 20 ans d’études de ces technologies, et peut-être le seul à donner tous les détails en français. Découvrez comment l’eau peut devenir la clé d’un avenir énergétique vraiment propre, plus abordable, plus durable et illimité.
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J’écris cet article car je suis régulièrement confronté à des personnes qui m’annoncent avoir ou connaître une personne qui a un cancer, et que n’ayant pas le droit ni la compétence de donner des conseils en matière de santé, je me sens triste pour eux, et je comprends que même avec mon livre sous la main il paraît difficile d’y trouver la motivation et la méthode à mettre en place, tellement les occidentaux sont ignorants des fonctionnements de base de leurs propres corps, et totalement mal informés sur le sujet.. Par exemple, la majorité des humains croient encore que les cancers arrivent par hasard et qu’ils sont une fatalité qui annonce douleurs et handicaps. C’est d’ailleurs à cause du discours médiatique sur le sujet, pour soutenir l’industrie médico-pharmaceutique et ses actionnaires millionnaires, au prix de la souffrance du reste de la population.
Les informations données par l’OMS, l’organisation mondiale de la santé, montrent bien que les autorités de santé savent que la majorité des cancers peuvent être évités. Par contre les intérêts privés qui manipulent les médias et les politiciens ne veulent pas que VOUS le sachiez. Sur le site de l’OMS, cité page 60 de mon livre, on lit par exemple que le cancer est un terme appliqué à un grand groupe de maladies, ce n’est donc pas une maladie unique ni une cause unique. Et qu’un tiers au moins des cas de cancer sont évitables, rien qu’en arrêtant de fumer, en changeant d’alimentation, en ayant des activités physiques et en mangeant moins. C’est en fait plutôt 80 à 90% des cancers qui sont évitables, comme les études l’ont montré, et vous pouvez le vérifier en prenant les références données dans mon livre.
D’ailleurs, page 62, j’ai repris une interview pour le magazine “Pour la science” du feu célèbre Dr Axel Kahn, qui était bien placé pour connaître le sujet des cancers, puisqu’il était Président de la Ligue Française contre le cancer, il dit : “des modifications du seul niveau d’expression des gènes sont incapables de provoquer un cancer. Il naît de conditions particulières, rayons ionisants, pollution, inflammation, etc…”. Et il ajoute plus loin que l’inflammation est le premier facteur de déclenchement du cancer, en deuxième c’est la modification du métabolisme, et le reste est dû au microbiote intestinal. Votre oncologue vous a-t-il fait part de ces faits connus de la Ligue contre le cancer ? Selon cette figure publique de la lutte contre le cancer, il faut donc, pour lutter contre le cancer, réduire l’inflammation dans le corps, rétablir un bon métabolisme de l’organisme, et rééquilibrer son microbiote intestinal !! Et cela se fait donc logiquement en changeant d’alimentation, en pratiquant des activités physiques et en se protégeant des polluants présents dans l’air, l’eau et la nourriture.
Selon les succès obtenus par les médecins, et leurs études scientifiques, présentés dans mon livre, la majorité des cancers sont déclenchés par des dérèglements du fonctionnement cellulaire, causés par un mode de vie ou un environnement nocifs. Selon ces médecins les cancers se développent principalement à cause d’une mauvaise alimentation chronique, souvent culturelle, d’une sédentarité quotidienne ou de polluants chimiques ou d’agents pathogènes biologiques. Certaines de ces influences s’impriment dans nos gènes et sont transmises aux générations suivantes, qui ainsi déclenchent des cancers de plus en plus jeunes. La partie de mon livre sur la prévention des cancers commence à la page 59 du livre broché.
Voici donc ce que je ferais personnellement, et les raisons de mes choix :
1- Je cesserais toutes les grandes causes d’acidification de mon corps par le CO2, c’est à dire le tabac, les boissons à bulles, les gaz d’échappement, et j’oxygènerais mon corps par la pratique d’activités physiques quotidiennes. Le Dr Laurent Schwartz à découvert que le CO2 qu’on inhale lorsque l’on fume, issu de la combustion du tabac, est l’élément le plus toxique dans la cigarette, plus que les goudrons et les molécules toxiques produites. Le CO2 à un impact acidifiant sur l’eau, et notre corps étant composé majoritairement d’eau, notre corps est fortement acidifié par l’excès chronique de CO2, ce qui abaisse son pH et permet à de nombreux agents pathogènes de proliférer, et notamment aux cellules cancéreuses. L’acidité dissout aussi les structures minérales comme le calcium. Tous ces faits sont reconnus dans le cas de l’acidification problématique de l’eau des océans, mais personne ne parle de ce même effet qui se produit dans l’eau du corps humain. (Dr Laurent Schwartz, page 73, Dr Simonici page 84)
2- Je cesserais les boissons alcoolisées, en me limitant, si je ne pouvais pas m’en passer, à 1 verre de vin rouge en mangeant le midi. L’alcool est une fermentation de sucre qui cause une forte acidification de l’organisme qui détériore tous les organes, pas seulement le foie.
3- J’arrêterais de croire qu’une action simple et isolée, comme la prise d’une pilule ou d’une huile essentielle ou d’un supplément miracle pourrait me sauver définitivement du cancer. Le cancer se développe dans un milieu propice dégradé, et changer l’état du corps nécessite un travail de fond. Bien sûr, des médicaments, des molécules actives ou des suppléments peuvent aider à guérir du cancer, mais le plus important est de changer de mode de vie pour rendre son corps inadapté au développement des cellules cancéreuses.
4- J’adopterais le régime méditerranéen traditionnel, puisque dès les années 80, l’étude de Lyon de l’équipe du Dr De Lorgeril avait découvert que ce régime diminuait significativement l’occurrence des cancers. Ce régime alimentaire, appelé aussi régime Crétois, est riche en aliments qui ont des micronutriments essentiels, vitamines et minéraux, et riche en fibres qui permettent aux bonnes bactéries de se développer dans l’intestin, ce qui renforce le bon microbiote et lutte contre l’inflammation. Il s’agit de manger moins de produits animaux, viandes, charcuteries, et produits laitiers, et plus de produits végétaux crus ou cuits à la vapeur, fruits, légumes, légumineuses et céréales complètes (Dr De Lorgeril, page 43). Rien que ce changement alimentaire est la base pour obtenir un corps sans inflammation et en bonne santé, car il augmente les bons aliments, fruits et légumes frais, fruits oléagineux, peu de cuisson destructrice, et écarte les aliments qui contiennent des molécules toxiques, comme les produits laitiers et céréaliers de l’agriculture intensive moderne. Les crétois n’avaient pas de vaches ni de champs de blé de part la topographie des côtes méditerranéennes où ils vivaient.
4- Lorsque je le pourrais je pousserais l’optimisation de mon régime alimentaire en passant au régime Seignalet, dit hypo-toxique, car il élimine encore plus d’aliments qui peuvent causer de l’inflammation chez certaines personnes (méthode Seignalet, page 167).
5- Je me mettrais à la pratique d’activités physiques quotidiennes, en suivant au minimum les recommandations de l’OMS sur le sujet (page 293), et j’irais vivre à la campagne, loin des pots d’échappement, des cheminées d’usines et des épandages de produits chimiques.
Maintenant que j’aurais établi les bases de mon nouveau mode de vie, l’éloignement des sources toxiques (le tabac, l’alcool, le CO2, le stress, la pollution), une alimentation anti-inflammatoire et probiotique (régime Crétois ou Seignalet), ainsi qu’une activité physique suffisante, je passerais à la prise de compléments alimentaires recommandés par ces médecins.
1- Le plus important, de très loin, puisque nécessaire aux tissus structurels de mon organisme, c’est l’ascorbate, l’acide ascorbique, la vitamine C, cette petite molécule que mon corps ne peut pas fabriquer et qui pourtant est un catalyseur nécessaire à la production de collagène par mes cellules. Et comme ce collagène est essentiel, notamment, pour maintenir mon système cardiovasculaire, ces millions de petits vaisseaux sanguins qui alimentent chacune de mes cellules, c’est le pilier du bon état de mon corps. Donc je prendrais de 1 à 3 grammes de vitamine C, sous la forme d’acide ascorbique, en comprimé ou en poudre chaque jour. (Pas en comprimés effervescents puisqu’ils produisent plein de bulles de CO2 acidifiant !) Logiquement il y a plein de paragraphes de mon livre dédiés à ces 2 molécules cruciales pour mon corps, l’ascorbate et le collagène qu’elles seules permettent de fabriquer : – Dr Rath et vitamine C, page 37 – Cancer et vitamine C, page 88 – Démences et vitamine C, page 119 – Diabète et vitamine C, page 146 – Vitamine C contre dépression, page 161 – Partie 3 du livre, Vitamine C et collagène, 70 pages sur leur importance, page 215
2- Je prendrais les suppléments recommandés par le Dr Rath et son équipe, qui ont mené des études sur ces suppléments et découvert qu’ils arrêtaient le développement des cellules cancéreuses (Dr Rath et Dre Niedzwiecki, page 63). Il s’agit de l’action synergétique de : – Production de tissu conjonctif : vitamine C, Lysine, Proline, cuivre, manganèse – Inhibiteurs de dégradation : NAC (N-acétylcystéine), thé vert, sélénium – Facteurs tuant les cellules cancéreuses : arginine Pour les dosages exactes de ces compléments alimentaires bon marché, le livre en français des solutions contre les cancers découvertes par cette équipe de chercheurs en Allemagne, est à télécharger gratuitement sur leur site de la Fondation Rath : www.dr-rath-foundation.org/2018/08/victory-over-cancer
Voilà donc le programme de base que je mettrais en place immédiatement si j’étais diagnostiqué comme ayant un cancer, en plus des recommandations de mon médecin spécialiste. C’est d’ailleurs un mode de vie que j’essaye de maintenir au quotidien depuis que j’ai découvert ces informations, pour éviter de développer un cancer, car je crois en la prévention comme meilleur moyen de ne pas tomber malade, de donner à mon corps ce qui lui convient, et d’éviter les comportements toxiques proposés par la culture locale humaines, comme l’apéro ou la fumette ou l’oisiveté et l’abondance quotidienne de produits animaux et industriels… Aux bons entendeurs le salut est à portée !
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