Le dioxyde de chlore contre le cancer, ça marche d’après le Dr SCHWARTZ

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Une nouvelle vidéo de la mi-avril 2024 montre le Dr Laurent Schwartz expliquer comment le ClO2, le dioxyde de chlore, permet de lutter efficacement contre le cancer, précisément en consommant les excès d’électrons accumulés dans les cellules, et qui est une gêne qui contribue à la fermentation du sucre, le processus qui s’enclenche lors de la prolifération cancéreuse.

Le Dr Laurent Scartz est oncologue et radiothérapeute à l’APHP. Il a publié en 2016 « Cancer : un traitement simple et non toxique », préfacé par le Professeur Luc Montagnier.

Une Sénatrice et une conseillère au Parlement Européen (la médecin Catherine Vierling) sont présentes derrière lui, démontrant l’intelligence et l’honnêteté de certaines élues françaises. C’est d’ailleurs sur la chaîne YouTube personnelle de Laurence Muller-Bronn , Sénatrice du Bas-Rhin, qu’est publiée cette vidéo. Son site internet officiel est ici https://www.muller-bronn.fr/ (Je n’ai personnellement aucune affiliation ni opinion politique).

Transcription de la vidéo par David :

Je voulais tous vous remercier madame la sénatrice, Catherine Vierling, conseillère au Parlement Européen, mesdames les assistantes et les gens avec qui j’ai l’habitude de travailler, Frédéric xxx, Olivier xxx, Mireille xxx, et ainsi de suite, et leur dire que je suis content de ce témoignage d’amitié.

Si notre système a marché c’est qu’on est fondamentalement des amis et qu’on a pas pour l’argent, mais qu’on a travaillé pour les malades.

Je voudrais aussi dire aux malades, et il y en a dans la salle, que je vais faire ce que je peux pour les aider, mais que nous avons tous nos limites dans ce qu’on peut faire.

Alors au fond je vais vous parler d’abord d’une vieille molécule qui s’appelle le bleu de méthylène.

Alors bleu, c’est simplement parce que les Allemands voulaient en 1876 pouvoir s’affranchir de l’indigo, qui est la couleur bleue qui était un privilège des anglais, ça venait des Indes. Donc ils voulaient pouvoir teindre en bleu, et Methylene c’est un jeu de mot allemand parce que ça ressemble à mythylène, et que les bleus de l’époque avaient des noms d’endroit, comme le bleu de Prusse ou ainsi de suite.

Le bleu de méthylène c’est 1876 c’est le plus vieux médicament qui existe, il est plus vieux encore que l’aspirine, il est plus vieux de quelques années que le paracétamol dont on a beaucoup parlé.

Et il a ceci de fascinant, c’est que c’est le début de l’industrie teinturière, et dans les années 1860, l’industrie chimique a trouvé le benzène, c’est une structure chimique déjà assez compliquée. Et du benzène vont dériver trois types de molécules, les médicaments dont je vous parlerai, mais aussi les explosifs et les insecticides.

Et quand vous mettez deux molécules de benzène l’une à côté de l’autre, vous obtenez le bleu de méthylène. Ce que voulaient les Allemands c’est une teinture, le bleu est bleu. 

Il y a qu’à aller aux toilettes ici pour se rendre compte qu’il y a des gens qui en prennent et que ça teint bien en bleu les urines !

Le bleu a d’abord été essayé comme teinture, et très rapidement Herlich, qui aura son prix Nobel dans les années 1900 quelque chose, comprend qu’il peut teindre les tissus, et qu’on peut commencer à voir quelque chose dans les tissus. Et en particulier les parasites, et il voit en 1885 que le falciparum qui est l’agent responsable de la malaria (Plasmodium falciparum est l’espèce la plus pathogène et responsable des cas mortels) peut-être teint par le bleu de méthylène. Et il a l’idée de traiter le paludisme au bleu de méthylène, parce qu’il voit que le falciparum n’aime vraiment pas le bleu de méthylène, parce qu’il meurt.

Et il montre dans les années 1880 le premier cas de maladie guérie par le bleu de méthylène, c’est en l’occurrence des accès palustres (manifestation clinique la plus typique du paludisme).

Et puis vous allez avoir dans cette période, énormément de maladies qui vont être testées au bleu de méthylène. Il va y avoir la dépression, on va y revenir, des premiers cas de

neurodégénérescence, mais surtout les maladies infectieuses. Et ils vont traiter, avec une forme de succès, la lèpre, la tuberculose, et évidemment le paludisme. Tout ça marche, en tout cas pas mal, et on retrouve, quand on va à la librairie nationale de France, des centaines de livres sur des maladies traitées entre 1880 et 1920 par le bleu de méthylène.

Il note déjà à l’époque que l’effet secondaire du bleu de méthylène c’est l’irritation vésicale et que les gens ont besoin d’aller uriner de façon plus fréquente, mais que ça peut se lever à l’atropine ce qui est un traitement qu’on ne fait plus nous aujourd’hui.

Là où je veux en venir et ce qui est important, c’est ce papier, ce papier est écrit en 1906 par un dénommé Abraham Jacobi, qui est quelqu’un qui était assez important, vu qu’il était président de l’Association américaine des pédiatres, et l’article dit au fond, ça marche dans tous les cancers. Vous mettez du bleu de méthylène et ça arrête les tumeurs, ça ne les guérit pas, parce que les tumeurs ne disparaissent pas, mais elles arrêtent de pousser.

Et il prend le cas d’une femme qui a un cancer de l’ovaire, une grosse masse qui a essémé au péritoine. Il met du bleu de méthylène, alors les doses ne sont pas totalement claires, parce que il parle de granule, si j’ai compris une granule c’est 60 mg, donc il doit donner des doses de l’ordre de 500 mg de bleu de méthylène. Et cette tumeur quelques années plus tard, à l’autopsie, sera de la taille d’une noix. Dans la salle il y a un autre médecin qui vient de Georgie qui dit que lui aussi il a traité des patients, en l’occurrence des cancers ORL, puis des cancers abdominaux, et qui eux aussi ont répondu au bleu de méthylène.

Et ça vous allez le retrouver dans la littérature, donc ce papier il est de 1906, c’est au Journal of American Medical Association, c’est un journal qui en tout cas aujourd’hui est prestigieux. C’est un papier qui est bien fait, évidemment il y a pas de biopsie, parce qu’on n’en faisait pas à l’époque, évidemment il y a pas de scanner ou d’IRM ou de PETSCAN, mais enfin je veux dire il n’y a pas de raison non plus qu’il  se soit trompé, et surtout il y a toute une littérature que je n’ai que partiellement fouillée de textes de la même époque qui émane d’une culture d’origine allemande. C’est là où il y en a le plus, mais moi je n’arrive pas à lire les les textes allemands anciens parce qu’ils sont en gothique, et que c’est au-delà de mes capacités, bien que je sois Alsacien. 

Mais il y a un papier, il y a une thèse en français par un docteur Rambaud, qui exerçait à Bordeaux en 1893, qui dit lui aussi que le bleu marche. Donc on se retrouve avec la redécouverte de publications anciennes concordantes et multiples, disant que le bleu de

méthylène marche.

Alors ce que nous on a fait, avec le groupe que j’anime et qui me porte, c’est qu’on a essayé un petit peu d’y comprendre quelque chose, alors c’est comme toujours, on peut être soit dans le dogme, soit à l’extérieur, on peut être dans le système, on peut être “refusnique”, ça c’est des choses qu’on ne choisit pas.

Mais au fond il y a deux grands sujets majeurs en cancérologie, un, la cellule maligne doit être tuée, ça c’est une idée qui date grosso modo des maladies infectieuses, on guérit les maladies infectieuses, le cancer ça doit ressembler aux maladies infectieus, faut tuer le cancer, et c’est toute l’idée de la chimiothérapie anticancéreuse.

Et en 1942 à l’Université de Yale, on commence à utiliser pour la première fois des dérivés des gaz de combat, et on voit que le traitement fonctionne. Le malade qui a un lymphome, il y a une biopsie là par contre, et de fait ce lymphome régresse, mais très rapidement la tumeur repousse, le malade meurt, et en plus il a les effets secondaires.

Et ça c’est quelque chose qu’on retrouvera tout le long de l’histoire de la cancérologie moderne, des réponses tumorales, des effets secondaires et malheureusement fréquemment mais pas toujours heureusement, des reprises tumorales.

Et le deuxième grand dogme c’est, comme c’est compliqué, nous avons les outils par l’informatique à l’époque, l’intelligence artificielle aujourd’hui, pour démêler tout ça. C’est l’histoire du programme génétique, on s’imagine que nous sommes codés génétiquement, que tout ce qui nous arrive à une explication génétique.

Alors c’est vrai jusqu’à une certaine limite, la couleur des yeux et des cheveux, ou tout ça c’est génétique, mais les maladies les plus courantes n’ont probablement pas d’explication génétique majeure.

Et on s’imagine que c’est pas parce qu’on l’a pas trouvé qu’elle n’est pas là, et nous nous retrouvons donc dans deux paradigmes qui vont être majeurs, il faut tuer les cellules, et on va arriver à tuer les cellules uniquement quand on aura compris toute la subtilité du programme génétique.

Et ça c’est c’est le dogme, et comme toujours dans le dogme vous avez des “refusniques”, qui disent que c’est pas comme ça que ça se passe, que c’est probablement plus simple, que le cancer n’est pas une maladie complexe, mais au fond tous les cancers présentent les

mêmes caractéristiques.

Le premier  “refusnique” qui était tout de même prix Nobel, Otto Warburg, qui fait partie de la grande école des chimistes allemands des années 1910 -1950, il comprend que les cellules

cancéreuses captent le sucre, que ce sucre les alimente, mais qu’elles ne peuvent pas les brûler, ça s’appelle en français courant une fermentation.

Les cellules fermentent, elles font de la masse, et comme elles font de la masse ça polymérise, comme aurait dit Romain qui est là-bas.

Et la cellule chauffe un peu et elle se divise en deux. Donc Otto Warburg, comprend dans les années 20, que tous les cancers sans aucune exception, et c’était un sujet de d’intense débat avec Frédéric Bouillot, que tous les cancers fermentent, et que c’est probablement pour cela qu’ils font de la masse.

Le deuxième “refuznic” c’est Albert Szent-Giorgyi, alors c’est un nom impossible à retenir, il est lui aussi prix Nobel, il découvre dans les années 1930 la vitamine C, il est capable d’isoler la vitamine C dans le paprika, parce qu’il vient de Hongrie et qu’en Hongrie il n’y a pas d’orange, mais il y a du paprika, et que le paprika a beaucoup de vitamine C dedans. Donc il est quelqu’un d’extrêmement connu par sa découverte de la vitamine C. Il est obligé de fuir la Hongrie, et fuyant la Hongrie va aux États-Unis, et il ne trouve de place que dans un institut de biologie marine, où il se met en tête de comprendre le cancer.

Et ça explique aussi pourquoi ça n’a pas eu d’avenir, c’est que se retrouvant dans un institut de biologie marine, il n’y avait pas de cancérologue à côté, il n’y avait pas de malades, et donc ce qu’il a fait a été oublié. Ce qu’il comprend et c’est fondamental, c’est qu’une cellule quand elle est bien nourrie elle est là pour se diviser, la cellule normale quand elle a à manger elle se divise. 

Et il comprend quelque chose de fondamental, qu’a re-compris Romain, c’est que la raison de la division cellulaire, c’est l’excès d’électrons.

Je va faire maintenant un petit arrêt pour réexpliquer un petit peu la biologie, je ne vais pas rentrer dans les détails, mais au fond, vous ou moi ou Anne-Catherine ou n’importe qui d’autre, nous fonctionnons par une réaction chimique, nous prenons des électrons, des protons à l’alimentation, nous les lions à l’oxygène, et nous faisons de l’eau. Vous et moi faisons un demi litre d’eau par jour, et c’est la réaction chimique la plus puissante qui soit, et si vous voulez envoyer une fusée sur la lune, c’est avec des électrons et des protons, vous mettez une allumette et c’est comme ça que ça part, ça s’appelle la respiration cellulaire.

Et vous respirez, vous faites votre demi litre d’eau par jour, et c’est ça qui vous donne l’énergie. Et en biologie tout est fait pour ralentir le système, parce que si vous le faites à tout berzingue, vous explosez !

Et si ça ne se passe pas, si vous ne respirez pas, eh bien ça s’appelle la maladie, et la maladie a un autre mot, un autre synonyme, c’est la fermentation.

Dans l’ensemble des maladies vous faites de la masse, vous faites de la masse parce que vous ne brûlez pas bien, et cette masse va faire qu’une cellule se divise en deux, ça s’appelle de la fermentation. Donc la biologie peut-être comprise par deux choses, la respiration, l’oxydation c’est la vie, tout va bien, vous brûlez, vous faites de l’énergie, de l’ATP, dont on parlait plus avant, soit vous fermentez, et si vous fermentez vous faites de la masse, et si vous faites de la masse, les problèmes arrivent, que ce soit de la masse cancéreuse, que ce soit de la masse sous forme de dépôt amyloïde, ou ainsi de suite.

Comprendre ce point crucial est fondamental, et qu’est-ce que va faire le bleu, il va empêcher de faire de la masse.

Je voudrais juste revenir parce que c’est fondamental, après je reparlerai sur la clinique, c’est un exemple simplifié, ne rentrez pas dans les détail c’est illisible, mais ça c’est le cœur du mécanisme cellulaire, c’est le cycle de KREBS. Alors on peut vous le faire horriblement compliqué avec un enzyme qui fait guili guili à un autre enzyme, qui vous donne un nom barbare et impossible à faire, mais en réalité tout ça c’est que de l’électronique.

Et le cancer, c’est une suite de court-circuits électroniques. Donc on se retrouve avec deux choses, un problème intellectuel, combien d’électrons je dois enlever et ainsi de suite, et des malades qui sont ici, là et maintenant. Et au fond comment peut-on enlever cet excès d’électrons qui est responsable de la fermentation, et comme disait Szent-Giorgyi, et donc de la prolifération ?

Alors comment enlever ça, premièrement vous mangez moins, d’où l’idée de mettre les malades en régime hypoglycémique, cétogène, vous en avez des variations. Moi j’aime bien le lait de vache, quoi qu’on raconte, on a une discussion à midi, il est où, il est là, ouais, on est pas tout à fait d’accord.

Troisième point, relancer la mitochondrie, vous pouvez la relancer par du sport, de la gymnastique, du footing ou des médicaments, type acide lipoïque, hydroxycittrate, et surtout enlever les électrons.

Et vous pouvez enlever ces électrons de deux façons, que moi je sache, c’est un, le bleu de méthylène, le bleu de méthylène prend des électrons, change de couleur et il les envoie à l’extérieur de la cellule, et ça explique probablement ce papier de 1906.

Et l’autre chose qui pour moi est redoutablement efficace c’est le dioxyde de chlore.

Alors le bleu de méthylène, je vous rappelle c’est 1876, efficacité dans à peu près toutes les maladies, d’autant plus qu’une grande partie des médicaments que vous connaissez aujourd’hui, sont des dérivés du bleu méthylène, les sulfamides, les diurétiques, les anti dépresseurs, la chlorpromazine, la chloroquine dont on a beaucoup parlé, tous ces médicaments viennent du bleu de méthylène.

Et l’autre médicament qui peut vous enlever ces électrons, c’est le dioxyde de chlore. Alors le dioxyde de chlore est connu parce que c’est un désinfectant, qui lui ne date pas de 1876 mais de la Révolution française, donc qu’il est plus âgé. Il est utilisé pour aseptiser l’eau que vous buvez ou les piscines pour les bourgeois qui ont des piscines, mais pris à bonne quantité, à bonne dose, c’est redoutablement efficace dans le traitement du cancer.

Donc les patients parleront par eux-mêmes, c’est un des patients qui est là, vous voyez que son cancer de la prostate, vous voyez que le PSA monte, c’est une rechute, excusez-moi j’arrive pas, bon enfin vous voyez que ça monte jusqu’au moment où on met du dioxyde de chlore et du bleu de méthylène, de l’acide lipoïque et de l’hydroxycytrate, du fondant Suisse parce qu’il faut bien vivre, et de la marche.

Et vous voyez aussi que ces courbes sont fondamentalement fluctuantes, que ça monte et ça baisse, mais qu’au moment où on a mis ça, le cancer récidivant après une intervention dont il vous parlera lui-même.

Voilà, donc là maintenant se pose la question de l’étape suivante, l’impression que j’ai qui n’est qu’un terme d’impression, c’est que quand le cancer n’est pas sur un mode inflammatoire majeur, si le malade n’est pas en train de mourir, ou s’il n’a pas eu des lignes de chimiothérapie les unes derrière les autres, on arrive fréquemment, et je ne peux pas définir le terme de fréquemment, à le stabiliser ou le ralentir.

Donc se pose la question d’un essai thérapeutique, alors vous savez quand on n’est pas totalement dans les clous, malgré l’aide de ma femme et des autres, on y est pas arrivé, mais Mireille Suma qui est une mathématicienne à Dauphine, avec qui j’ai bossé, dit qu’un essai devrait comporter 20 à 40 malades pour démontrer ça.

Tout ça pour vous dire que ça n’est pas du domaine de l’insurmontable, donc probablement le cancer était compris en 1906, probablement le traitement était là, on peut arriver à relire ce qu’ont dit les anciens, avec de la physique quantique, avec des électrons, et avec du travail.

J’ai oublié de vous dire qu’en début d’année nous avons publié, grâce à la Fondation, un travail qui confirme que le bleu de méthylène ralentit la croissance des tumeurs sur les souris canadiennes, donc on ne sait pas ce que ça donne sur les souris françaises.

Mais tout ceci donne une haute probabilité que c’est par là que ça se joue, évidemment on est dans une période de transition, évidemment moi je suis le plus à l’aise devant les équations, j’aime beaucoup ça les malades, c’est déjà plus dur pour moi, et au fond je ne sais pas comment jouer le coup suivant, qui est évidemment d’une validation de tout ce que je suis en train de vous raconter, et d’une dissémination de tout cela. Je vous remercie.

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