Le cerveau a-t-il vraiment besoin d’Omégas 3 et 6 ?
Bonjour,
Voici quelques informations directement liées à notre santé mentale et physique, provenant des résultats cliniques et scientifiques révélés par les meilleurs professeurs spécialisés dans ce domaine.
Notre cerveau est un ensemble de cellules différentes qui ont besoin de certaines molécules pour bien fonctionner, mais aussi pour se réparer et s’entretenir, pour rester fonctionnelles jusqu’à nos âges les plus avancés.
Or il se trouve que nos changements alimentaires qui s’éloignent toujours plus de nos besoins physiologiques de base, nous ont fait dériver vers une alimentation complètement carancée en ces molécules essentielles à la santé de nos cerveaux, entre autres.
La preuve est dans l’explosion progressive des cas de démences de tous types, depuis les changements de direction diététiques institués par nos autorités médicales, après l’industrialisation de notre alimentation au siècle dernier. Les dégâts sont immenses et toujours en croissance, on parle d’épidémies de défaillances cérébrales, qui touchent les gens de plus en plus tôt dans leur vie.
Mais heureusement, comme à tout problème il y a une solution, des médecins et chercheurs ont étudié ces problèmes depuis des décennies et nous communiquent leurs résultats dans leurs livres. Merci à notre droit de liberté d’expression individuel, ces sauveteurs ont le droit de publier leurs résultats. Car ce ne sont ni les médias de masse ni les autorités officielles qui nous informeraient précisément sur ces sujets … à part quelques exceptions comme Cash Investigation d’Elise Lucet, ou l’émission sur France 2 du Docteur Michel Cymes et Adriana Karembeu qui présentent souvent des faits utiles.
Quant au meilleur livre sur le sujet de la bonne santé cérébrale actuellement disponible en librairie, c’est à mon avis celui du Docteur Michael Nehls, intitulé Guérir Alzheimer, Comprendre et agir à temps, aux éditions ACTES SUD.
Nos besoins en Omégas 3 et 6
Tout le monde a entendu parlé des acides gras oméga-3 et 6, mais il est rare de trouver toutes les informations, de sources scientifiques, qui nous permettent de prendre directement les actions nécessaires au quotidien pour optimiser cet apport pour notre cerveau.
Dans cet excellent livre du Docteur Nehls, plusieurs pages y sont consacrées, synthétisant les besoins quantitatifs et les moyens d’approvisionnement.
Je cite : ‘Le développement des neurones requiert impérativement deux matériaux : les acides gras insaturés oméga-3 et oméga-6. Ils sont dits ‘essentiels’ parce que notre organisme n’est pas capable de les produire lui-même. Ils proviennent donc forcément de notre alimentation. Oméga-3 et oméga-6 sont présents en quantité à peu près équivalente dans notre cerveau et , d’après les paléontologues, l’alimentation des chasseurs-cueilleurs offrait elle aussi une répartition similaire.’
Donc, comme nous sommes encore génétiquement identiques à nos ancêtres récents qui avaient une physiologie en symbiose avec la nature, nous devrions manger comme eux, et même mieux qu’eux, puisque nous avons la science pour nous permettre de surpasser la qualité nutritive de nos prédécesseurs.
Ce livre explique que notre alimentation moderne est beaucoup trop riche en omégas-6 par rapport à nos apports réduits en omégas-3, et que cela est très dommageable pour notre organisme.
Car les omégas-6 sont des molécules qui provoquent de l’inflammation qui permet au système immunitaire de mieux fonctionner quand c’est nécessaire. Mais cet excès de molécules inflammatoires fini par attaquer tout l’organisme et de façon chronique. Il nous faut donc d’une part réduire drastiquement nos apports en oméga-6, et d’autre part augmenter au possible nos apports en omégas-3, qui elle est une molécule ayant une action anti-inflammatoire. Deux acides gras essentiels qui peuvent paraître similaires mais qui ont des rôles totalement opposés !
Le but étant de retrouver un équilibre de 1 contre 1, alors que de nos jours on trouve jusqu’à 50 fois plus d’omégas-6 dans l’alimentation de certaines populations. Il y a 50 ans, dans les années 60-70, juste avant la conquête totale de la mal-bouffe, on trouvait un taux moyen de 3 contre 1, ce qui n’était pas catastrophique. On comprend ainsi pourquoi les centenaires d’aujourd’hui sont tombés gravement malades bien plus tard que leurs enfants et petits enfants, car n’ayant pas cette source excessive d’inflammation chronique dans leur alimentation, ces omégas-6, leur corps ont tenu le coup bien plus longtemps en bonne santé.
Les sources d’oméga-3 anti-inflammatoires
Notre cerveau n’utilise pas directement les omégas-3, ils doivent être convertis en DHA au préalable, et le Dr Nehls nous précise que les végétaux sont capables de fabriquer des acides oméga-3, mais par contre notre corps ne peut que très difficilement les convertir en DHA.
– Les fruits de mer et les poissons sont certainement les sources les plus généreuses et naturelles des ces molécules essentielles à nos cerveaux. Mais attention à la contamination aux métaux lourds de certaines espèces. Ces produits animaux contiennent directement de la DHA qui n’a donc pas besoin d’être transformée avant utilisation.
– L’huile de foie de morue est la source animale suivante connue pour les omégas-3.
– L’huile de micro-algues marines, qui est donc une source végétale. Encore très chère de nos jours.
– L’huile de Lin était jusque récemment la source végétale la plus populaire, mais ne peut être utilisée que sous des conditions strictes.
– Et enfin, l’huile de noix de Sacha Inchi, qui contient 50% d’acide alpha-linoléique oméga-3, aussi appelés LNA, ce qui la rend comparable à l’huile de Lin ! Mais en plus elle a un taux élevé de Tocophérols gamma et delta (200 mg pour 100 g). (1)(2)
Cette noix qui vient d’une plante cultivée sur les hauts plateaux du Pérou est pressée à froid, on l’appelle aussi la cacahuète des Incas, est considérée comme un super-aliment, c’est à dire ayant des vertus exceptionnelles par rapport aux aliments habituels.
Cette super-huile contient des taux incroyables d’acides gras essentiels, et dans une proportion plus favorable, soit environ 44-48% d’oméga 3 (LNA), 35% d’oméga 6 et 10% d’oméga 9. (3)
Elle contient aussi de nombreuses protéines, des vitamines A et E
Nos besoins en DHA
Chez le nourrisson c’est le lait maternel qui apporte toute la DHA nécessaire à la construction du cerveau du bébé. En prévention pour un adulte il faut compter sur un besoin de 0,5 à 1 gramme par jour de DHA. Cela correspond à manger 300 grammes ou plus de poisson par semaine. Bien sûr en cas de problème cérébral déjà présent, ou d’âge avancé, le Dr Nehls recommande plutôt 600 grammes de poisson par semaine.
Il est toujours préférable de prendre des suppléments alimentaires pour s’assurer de ne pas en manquer, c’est la santé de notre cerveau qui est en jeu !
Je vous conseille vraiment ce livre, pour l’instant le plus clair et complet que j’ai trouvé.
Je vous conseille aussi les nombreux produits de SANUS-Q que je prends depuis des années, car ils sont de haute qualité, et de nos jours avec les centaines de marques qui existent, il est bon de savoir ce que l’on achète, et à qui on l’achète !
SANUS-Q ont des gélules d’huile de Sacha Inchi et plein d’infos sur leur site internet Capsules-de-Sacha. Je cite : Les meilleures capsules d’huile de sacha inchi Nos capsules d’huile de sacha inchi contiennent de l’huile vierge pressée à froid de haute qualité extraite de graines brutes et non traitées. Elles ne contiennent aucun produit chimique ni aucun additif.
- Riche en acides gras oméga 3, en acides aminés essentiels et en antioxydants
- L’une des sources les plus riches en acides gras oméga 3 de source végétale
- Diminue l’inflammation dans le corps
- Diminue le taux de cholestérol et la tension artérielle
- Soutient la santé cardiaque
- Améliore les fonctions cérébrales et l’humeur
- Source de protéines complètes
- Stimule le niveau d’énergie et forme des muscles sains
- Favorise la perte de poids
- Facile à digérer
Merci de votre intérêt pour ces informations, et bonne santé !
Références
(1) http://www.dhaomega3.org/FAQ/Do-Sacha-Inchi-nuts-contain-omega-3-fatty-acidsac
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