Redécouvrant les travaux incroyables que ce biologiste et sa femme ont menés durant plus de 40 ans sur l’importance de l’alcalinité du corps pour être en bonne santé, j’ai retrouvé un de ses livres qui met en valeur l’utilisation du dioxyde de chlore, ou ClO2, ou popularisé par Jim Humble en tant que MMS, Supplément Minéral Miracle.
Ce livre a malheureusement été supprimé de la vente, partout, comme tous les livres sur le MMS, et heureusement j’en avais une version PDF en anglais, dont je vous traduis des passages ci-dessous !
Titre original : Chlorine Dioxide (CL02) As a Non-Toxic Antimicrobial Agent for Virus, Bacteria and Yeast (Candida Albicans). Robert O. Young PhD, DSc, ND, 10 déc. 2015. ISBN 1945874007, 9781945874000
Titre traduit : Dioxyde de chlore (CL02) en tant qu’agent antimicrobien non toxique contre les virus, les bactéries et les levures (Candida Albicans).
À propos de l’auteur (2015) : Robert O. Young, Ph.D., D.Sc., ND est un scientifique, microbiologiste, nutritionniste et naturopathe de renommée mondiale. Il s’adresse à des publics du monde entier sur la santé, le bien-être, la nutrition, la forme physique et le mode de vie et l’alimentation alcalins dans la prévention et l’inversion de toutes les maladies et maux. Sa théorie fondamentale, appelée la nouvelle biologie, suggère que le corps humain est alcalin par conception et acide par fonction. Qu’il n’y a qu’une seule maladie, un seul traitement et une seule santé et une seule condition physique. La seule maladie est la sur-acidification du sang puis des tissus due à une façon inversée de vivre, de manger et de penser. Le seul traitement, la seule santé et la seule condition physique sont atteints et maintenus grâce à un mode de vie et à un régime alcalins. Le Dr Young a publié plusieurs articles évalués par des pairs dans des revues renommées, notamment l’International Journal of Vaccines and Vaccination et l’International Journal of Complimentary and Alternative Medicine. Il est également l’auteur de 52 livres traduits en 29 langues, dont ses livres les plus vendus, Sick and Tired, The pH Miracle, The pH Miracle for Weight Loss, The pH Miracle for Diabetes et The pH Miracle for Cancer, avec plus de 5 millions de ventes de livres dans le monde. Le Dr Young est le père de 5 enfants et 5 petits-enfants et réside au pH Miracle, Ranch del Sol en Californie du Sud.
Résumé : L’utilisation d’une famille d’agents chimiques libérant des espèces actives d’oxygène efficaces contre les micro-organismes infectieux et les virus est décrit en mettant l’accent sur le dioxyde de chlore (CLO2), l’un de ces oxydes de chlore.
Sont également abordés l’ozone, l’hypochlorite, le périodate et les mécanismes d’action connus par lesquels certains globules blancs se fixent et éradiquent les micro-organismes infectieux et les bactéries primitives également appelées virus. Une explication de la mécanisation biochimique de l’acide CLO2 en tant qu’agent antimicrobien est présentée. Une attention particulière est portée aux Candida albicans, cytomégalovirus, virus de la poliomyélite, Herpès I et n, HTLV ITI et agents microbiens Pseudomonas répondant à l’application clinique de CLO2.
Il est sous-entendu que ces mécanismes biochimiques sont si fondamentaux que le développement des souches de bactéries et/ou de levures ne se produisent pas avec d’autres agents anti-infectieux.
Une liste limitée d’anomalies de santé qui répondent au CLO2 est discutée. Mots clés : Dioxyde de chlore, Ozone, Chlorite, Chlorate, Chlorure, Chlorite de sodium, Chlorure de sodium, Hypochloreux, Sodium, CLO2, Dioxyde de sodium, Legionella, Polio, VIH, SIDA, Bactérie de forme L, Candida albicans, mycoplasme, Levure, Champignon, Bactérie, Radicaux libres, Espèces toxiques pour l’oxygène, immunité, système immunitaire, réponse immunitaire, pléomorphisme, transformation biologique, cancer, Hépatite C, Herpès II, HTLV III, Cytomélagalovirus, Staphylococcus aureus, Pseudomonas.
Introduction et perspective historique
Le CLO2 est un composé inorganique composé d’oxygène, de chlorure, de potassium et d’or. Les composés d’oxygène et de chlorure sont formés à partir de deux éléments électronégatifs. C’est cette propriété chimique du CLO2 qui rend possible la libération d’oxygène naissant lors de la décomposition lors de son action en tant qu’agent antimicrobien. Certains aspects du système immunitaire cellulaire (globules blancs spécifiques) utilisent d’autres mécanismes dans la génération de dérivés oxygénés hautement réactifs (radicaux libres) dans le but de lutter contre l’invasion d’organismes étrangers. Sans ces mécanismes de protection fournis par le système immunitaire impliquant des dérivés de l’oxygène, la capacité à combattre l’infection est fortement altérée.
Le système immunitaire de nombreuses personnes, en particulier les personnes âgées, est déficient dans la capacité de fournir ces dérivés hautement réactifs de l’oxygène (radicaux libres) si nécessaires pour attaquer la grande variété d’envahisseurs viraux, bactériens et bactériens deviennent des cibles faciles pour les nombreuses maladies qu’ils produisent avec les symptômes qui les accompagnent.
L’utilisation de CLO2 aide les mécanismes de protection naturels du corps à contrecarrer ces agents infectieux qui, s’ils ne sont pas neutralisés de manière adéquate, conduiront très certainement à la maladie.
Et leur livre révolutionnaire vendu à des millions d’exemplaires dans le monde, disponible en plusieurs langues, ici en français, qui a permis à de nombreuses personnes de guérir de toutes sortes de maux :
Titre : Le miracle du pH alcalin: Des effets surprenants sur la perte de poids et la santé à long terme, de Robert O. Young (Auteur), Shelley Redford Young (Auteure)
Résumé : L’équilibre du pH corporel est la solution pour avoir une excellente santé, le poids idéal, les idées claires et un bon tonus général. Trouvez le juste équilibre en nourrissant votre corps avec des aliments capables de créer un environnement alcalin, et vous pourrez dire adieu à votre manque d’énergie, votre mauvaise digestion, vos kilos en trop, vos douleurs et tous vos maux.
Ce programme innovant et efficace, expérimenté depuis des dizaines d’années, agit sur la chimie du corps en le revitalisant et en aidant à conserver la santé ou à la retrouver.
Revu et augmenté, ce guide comprend les recherches les plus récentes et soulève le voile sur le miracle opéré par :
Les nutriments essentiels. Un programme nouveau qui vous indique les substances les plus importantes dont votre corps a besoin : la chlorophylle des légumes verts, les huiles et les sels minéraux indispensables.
L’eau alcaline et/ou ionisée. La plus efficace des boissons qui peut à la fois détoxiquer et revitaliser ; en boire en quantités.
La détox. Eliminer les impuretés régule la digestion et le métabolisme ; de nouvelles modalités de détoxication vous aideront à fortifier votre corps.
Les compléments alimentaires. Vous saurez comment les choisir, les acheter et en calculer le bon dosage.
L’activité physique. Tout un chapitre, flambant neuf, dans lequel sont décrits les exercices physiques qui aident à conserver le bon niveau de pH corporel.
Les aliments alcalins. Plus de 35 recettes ont été ajoutées, en mesure d’augmenter le pH et d’aider à équilibrer facilement votre corps avec des aliments comme les tomates, les graines germées, les noix, les citrons, les pamplemousses et les légumes verts
Le dioxyde de chlore (ClO2) est un agent oxydant qui est un puissant désinfectant et virucide. Il est utilisé depuis le milieu du XXe siècle comme moyen sûr et efficace de tuer les bactéries, virus et autres micro-organismes. Il a une structure chimique unique qui le rend plus efficace que les autres désinfectants, et des études scientifiques récentes ont mis en lumière la formule du dioxyde de chlore et son fonctionnement. Dans cet article de blog, nous explorerons la science derrière le dioxyde de chlore, son histoire et son utilisation dans diverses industries.
Introduction au dioxyde de chlore
Le dioxyde de chlore est un gaz jaune-vert qui a une odeur piquante. C’est un puissant agent oxydant qui a de nombreuses utilisations industrielles, médicales et agricoles. C’est un sous-produit de la chloration de l’eau et il est utilisé pour désinfecter l’eau, ainsi que pour stériliser l’équipement. Il est également utilisé pour désinfecter les chaînes de transformation des aliments, pour contrôler les odeurs dans les usines de traitement des eaux usées et pour contrôler les algues dans les étangs et les lacs. Le dioxyde de chlore est également utilisé dans le traitement de l’eau potable et est un virucide efficace, ce qui signifie qu’il peut tuer les virus.
Quelle est la formule du dioxyde de chlore ?
La formule du dioxyde de chlore est ClO2. C’est une molécule composée d’un atome de chlore et de deux atomes d’oxygène. C’est un composé stable et hautement réactif, ce qui en fait un désinfectant et désodorisant efficace.
La molécule de dioxyde de chlore est hautement réactive et peut réagir avec une variété d’autres molécules, y compris les virus et les bactéries. En effet, la molécule de dioxyde de chlore contient un atome de chlore chargé positivement et deux atomes d’oxygène chargés négativement. Lorsque le dioxyde de chlore réagit avec d’autres molécules, il est capable de décomposer les molécules, ce qui détruit les bactéries ou les virus.
Le dioxyde de chlore est également capable de pénétrer les parois cellulaires des bactéries et des virus, ce qui lui permet d’attaquer directement les cellules et de les détruire. Des études ont montré que le dioxyde de chlore est particulièrement efficace pour tuer les virus, notamment le virus de la grippe, le VIH et l’hépatite C.
Comment le dioxyde de chlore est-il utilisé ?
Le dioxyde de chlore est utilisé dans une variété d’industries, y compris le traitement de l’eau, la transformation des aliments et l’agriculture. Dans le traitement de l’eau, le dioxyde de chlore est utilisé pour désinfecter l’eau et éliminer les contaminants. Dans la transformation des aliments, il est utilisé pour assainir et désinfecter les lignes de transformation des aliments. En agriculture, il est utilisé pour contrôler les odeurs dans les stations d’épuration et pour contrôler les algues dans les étangs et les lacs.
Le dioxyde de chlore est également utilisé dans le domaine médical. Il est utilisé pour stériliser le matériel médical et les surfaces, et il est également utilisé pour traiter l’eau potable afin de la rendre potable.
20 utilisations du dioxyde de chlore
Désinfection de l’eau potable municipale
Traitement de l’eau dans l’huile
Agent antimicrobien dans la transformation de la volaille
Laver les fruits et légumes
Blanchiment de la pulpe de bois
Désinfection des surfaces et du matériel en milieu médical
Salles de stérilisation et outils en milieu médical
Améliorer la santé bucco-dentaire
Tuer le Giardia
Tuer le Cryptosporidium
Blanchiment des graisses et des huiles
Transformation de la farine
Assainissement
Désinfection de matériel de pasteurisation
Désinfection d’échangeurs de chaleur
Désinfection de tours de refroidissement
Désinfection de surfaces dures
Tuer les micro-organismes pathogènes tels que champignons, bactéries et virus
Tuer les bactéries sporulées
Désinfectant de l’eau potable.
Voici un échantillon d’études scientifiques démontrant l’efficacité du dioxyde de chlore contre les virus :
Inactivation of SARS-CoV-2 Viruses by Chlorine Dioxide in Aqueous Solution.
Titre traduit : Inactivation des virus SARS-CoV-2 par le dioxyde de chlore en solution aqueuse.
Résumé : L’étude a révélé que 0,8 ppm de dioxyde de chlore en solution aqueuse diminuait le titre viral du SARS-CoV-2 de 1 log10 TCID50/mL en 3 minutes.
Chlorine Dioxide inactivation of the SARS-CoV-2 virus: A review of the literature.
Titre traduit : Inactivation au dioxyde de chlore du virus SARS-CoV-2 : Une revue de la littérature.
Résumé : L’examen a conclu que le dioxyde de chlore est une méthode de décontamination efficace pour le SRAS-CoV-2 et qu’il a le potentiel d’être utilisé pour la décontamination des surfaces, des tissus et de l’air.
Chlorine Dioxide Disinfection of SARS-CoV-2: Inactivation Kinetics and Surface Reactivation Studies.
Titre traduit : Désinfection au dioxyde de chlore du SRAS-CoV-2 : cinétique d’inactivation et études de réactivation de surface.
Résumé : L’étude a révélé que le dioxyde de chlore était efficace pour désinfecter le SRAS-CoV-2 en solution aqueuse, et que le taux d’inactivation dépendait de la concentration de dioxyde de chlore et du temps d’exposition.
Chlorine dioxide disinfection of SARS-CoV-2 on surfaces.
Titre traduit : Désinfection au dioxyde de chlore du SRAS-CoV-2 sur les surfaces.
Résumé : L’étude a révélé que le dioxyde de chlore était efficace pour désinfecter les surfaces du SRAS-CoV-2, avec une réduction allant jusqu’à 4 log10 TCID50/ml en 5 minutes.
Inactivation of Coronaviridae by chlorine dioxide gas.
Titre traduit : Inactivation des Coronaviridae par le dioxyde de chlore gazeux.
Résumé : L’étude a révélé que le dioxyde de chlore gazeux était efficace pour inactiver les Coronaviridae dans l’air et sur les surfaces.
Inactivation of SARS-CoV-2 on surfaces with chlorine dioxide gas.
Titre traduit : Inactivation du SARS-CoV-2 sur les surfaces avec du dioxyde de chlore gazeux.
Résumé : L’étude a révélé que le dioxyde de chlore gazeux était efficace pour réduire le SRAS-CoV-2 sur les surfaces, avec une réduction allant jusqu’à 3 log10 TCID50/ml en 10 minutes.
Chlorine dioxide gas inactivates SARS-CoV-2 in air and on surfaces.
Titre traduit : Le dioxyde de chlore gazeux inactive le SARS-CoV-2 dans l’air et sur les surfaces.
Résumé : L’étude a révélé que le dioxyde de chlore gazeux était efficace pour inactiver le SARS-CoV-2 dans l’air et sur les surfaces.
Inactivation of SARS-CoV-2 by chlorine dioxide gas in a simulated indoor environment.
Titre traduit : Inactivation du SARS-CoV-2 par le dioxyde de chlore gazeux dans un environnement intérieur simulé.
Résumé : L’étude a révélé que le dioxyde de chlore gazeux était efficace pour réduire le SRAS-CoV-2 dans l’air, avec une réduction allant jusqu’à 4 log10 TCID50/ml en 10 minutes.
Efficacy of chlorine dioxide on inactivating SARS-CoV-2 virus.
Titre traduit : Efficacité du dioxyde de chlore sur l’inactivation du virus SARS-CoV-2.
Résumé : L’étude a révélé que le dioxyde de chlore était efficace pour inactiver le SRAS-CoV-2 sur les surfaces, avec une réduction allant jusqu’à 4 log10 TCID50/ml en 10 minutes.
Les avantages du dioxyde de chlore
L’utilisation du dioxyde de chlore dans diverses industries présente de nombreux avantages. C’est un désinfectant puissant et capable de tuer une variété de bactéries, virus et autres micro-organismes. Il est également non toxique et sûr à utiliser dans la transformation des aliments, le traitement de l’eau et les applications médicales.
Le dioxyde de chlore est également très rentable. Il est facile à produire et peut être stocké pendant de longues périodes sans perdre son efficacité. Il est également relativement peu coûteux à produire, ce qui en fait une option intéressante pour de nombreuses industries.
L’histoire du dioxyde de chlore
Le dioxyde de chlore est utilisé depuis le milieu du XXe siècle comme moyen sûr et efficace de tuer les bactéries, virus et autres micro-organismes. Il a été utilisé pour la première fois aux États-Unis dans les années 1950 comme désinfectant de l’eau. Depuis lors, il a été utilisé dans une variété d’industries, y compris la transformation des aliments, le traitement de l’eau et les applications médicales.
Dans les années 1970, le dioxyde de chlore a été approuvé par l’EPA comme moyen sûr et efficace de désinfecter l’eau potable. Cette approbation a conduit à l’utilisation généralisée du dioxyde de chlore dans l’industrie du traitement de l’eau et il est maintenant utilisé dans de nombreux pays à travers le monde.
Comment faire du dioxyde de chlore
Le dioxyde de chlore peut être fabriqué de diverses manières, notamment en utilisant du chlorite de sodium et de l’acide chlorhydrique. Le chlorite de sodium est un composé hautement réactif qui peut être utilisé pour fabriquer du dioxyde de chlore. Pour fabriquer du dioxyde de chlore, le chlorite de sodium est combiné avec de l’acide chlorhydrique. Ce processus produit du dioxyde de chlore gazeux, qui peut ensuite être utilisé comme désinfectant.
Précautions de sécurité lors de l’utilisation de dioxyde de chlore
Le dioxyde de chlore est un agent oxydant puissant et doit être manipulé avec précaution. Il est important d’utiliser un équipement de sécurité approprié lorsque vous travaillez avec du dioxyde de chlore, comme des gants, des lunettes et un respirateur. Il est également important de garder le dioxyde de chlore à l’écart de la chaleur et des flammes, car il est hautement inflammable.
Il est également important de garder le dioxyde de chlore à l’écart des autres produits chimiques, car il peut réagir avec eux et produire des gaz toxiques. Il est également important de garder le dioxyde de chlore à l’écart des aliments et des boissons, car il peut réagir avec eux et les rendre impropres à la consommation.
Conclusion
Le dioxyde de chlore est un agent oxydant puissant qui est utilisé dans une variété d’industries, y compris le traitement de l’eau, la transformation des aliments et les applications médicales. C’est un moyen sûr et efficace de tuer les bactéries et les virus, et des études scientifiques récentes ont mis en lumière la formule du dioxyde de chlore et son fonctionnement. Dans cet article de blog, nous avons exploré la science derrière le dioxyde de chlore, son histoire et son utilisation dans diverses industries. Nous avons également discuté des avantages du dioxyde de chlore et de la façon de le fabriquer, ainsi que des précautions de sécurité lors de son utilisation.
Une nouvelle vidéo de la mi-avril 2024 montre le Dr Laurent Schwartz expliquer comment le ClO2, le dioxyde de chlore, permet de lutter efficacement contre le cancer, précisément en consommant les excès d’électrons accumulés dans les cellules, et qui est une gêne qui contribue à la fermentation du sucre, le processus qui s’enclenche lors de la prolifération cancéreuse.
Une Sénatrice et une conseillère au Parlement Européen (la médecin Catherine Vierling) sont présentes derrière lui, démontrant l’intelligence et l’honnêteté de certaines élues françaises. C’est d’ailleurs sur la chaîne YouTube personnelle de Laurence Muller-Bronn , Sénatrice du Bas-Rhin, qu’est publiée cette vidéo. Son site internet officiel est ici https://www.muller-bronn.fr/ (Je n’ai personnellement aucune affiliation ni opinion politique).
Transcription de la vidéo par David :
Je voulais tous vous remercier madame la sénatrice, Catherine Vierling, conseillère au Parlement Européen, mesdames les assistantes et les gens avec qui j’ai l’habitude de travailler, Frédéric xxx, Olivier xxx, Mireille xxx, et ainsi de suite, et leur dire que je suis content de ce témoignage d’amitié.
Si notre système a marché c’est qu’on est fondamentalement des amis et qu’on a pas pour l’argent, mais qu’on a travaillé pour les malades.
Je voudrais aussi dire aux malades, et il y en a dans la salle, que je vais faire ce que je peux pour les aider, mais que nous avons tous nos limites dans ce qu’on peut faire.
Alors au fond je vais vous parler d’abord d’une vieille molécule qui s’appelle le bleu de méthylène.
Alors bleu, c’est simplement parce que les Allemands voulaient en 1876 pouvoir s’affranchir de l’indigo, qui est la couleur bleue qui était un privilège des anglais, ça venait des Indes. Donc ils voulaient pouvoir teindre en bleu, et Methylene c’est un jeu de mot allemand parce que ça ressemble à mythylène, et que les bleus de l’époque avaient des noms d’endroit, comme le bleu de Prusse ou ainsi de suite.
Le bleu de méthylène c’est 1876 c’est le plus vieux médicament qui existe, il est plus vieux encore que l’aspirine, il est plus vieux de quelques années que le paracétamol dont on a beaucoup parlé.
Et il a ceci de fascinant, c’est que c’est le début de l’industrie teinturière, et dans les années 1860, l’industrie chimique a trouvé le benzène, c’est une structure chimique déjà assez compliquée. Et du benzène vont dériver trois types de molécules, les médicaments dont je vous parlerai, mais aussi les explosifs et les insecticides.
Et quand vous mettez deux molécules de benzène l’une à côté de l’autre, vous obtenez le bleu de méthylène. Ce que voulaient les Allemands c’est une teinture, le bleu est bleu.
Il y a qu’à aller aux toilettes ici pour se rendre compte qu’il y a des gens qui en prennent et que ça teint bien en bleu les urines !
Le bleu a d’abord été essayé comme teinture, et très rapidement Herlich, qui aura son prix Nobel dans les années 1900 quelque chose, comprend qu’il peut teindre les tissus, et qu’on peut commencer à voir quelque chose dans les tissus. Et en particulier les parasites, et il voit en 1885 que le falciparum qui est l’agent responsable de la malaria (Plasmodium falciparum est l’espèce la plus pathogène et responsable des cas mortels) peut-être teint par le bleu de méthylène. Et il a l’idée de traiter le paludisme au bleu de méthylène, parce qu’il voit que le falciparum n’aime vraiment pas le bleu de méthylène, parce qu’il meurt.
Et il montre dans les années 1880 le premier cas de maladie guérie par le bleu de méthylène, c’est en l’occurrence des accès palustres (manifestation clinique la plus typique du paludisme).
Et puis vous allez avoir dans cette période, énormément de maladies qui vont être testées au bleu de méthylène. Il va y avoir la dépression, on va y revenir, des premiers cas de
neurodégénérescence, mais surtout les maladies infectieuses. Et ils vont traiter, avec une forme de succès, la lèpre, la tuberculose, et évidemment le paludisme. Tout ça marche, en tout cas pas mal, et on retrouve, quand on va à la librairie nationale de France, des centaines de livres sur des maladies traitées entre 1880 et 1920 par le bleu de méthylène.
Il note déjà à l’époque que l’effet secondaire du bleu de méthylène c’est l’irritation vésicale et que les gens ont besoin d’aller uriner de façon plus fréquente, mais que ça peut se lever à l’atropine ce qui est un traitement qu’on ne fait plus nous aujourd’hui.
Là où je veux en venir et ce qui est important, c’est ce papier, ce papier est écrit en 1906 par un dénommé Abraham Jacobi, qui est quelqu’un qui était assez important, vu qu’il était président de l’Association américaine des pédiatres, et l’article dit au fond, ça marche dans tous les cancers. Vous mettez du bleu de méthylène et ça arrête les tumeurs, ça ne les guérit pas, parce que les tumeurs ne disparaissent pas, mais elles arrêtent de pousser.
Et il prend le cas d’une femme qui a un cancer de l’ovaire, une grosse masse qui a essémé au péritoine. Il met du bleu de méthylène, alors les doses ne sont pas totalement claires, parce que il parle de granule, si j’ai compris une granule c’est 60 mg, donc il doit donner des doses de l’ordre de 500 mg de bleu de méthylène. Et cette tumeur quelques années plus tard, à l’autopsie, sera de la taille d’une noix. Dans la salle il y a un autre médecin qui vient de Georgie qui dit que lui aussi il a traité des patients, en l’occurrence des cancers ORL, puis des cancers abdominaux, et qui eux aussi ont répondu au bleu de méthylène.
Et ça vous allez le retrouver dans la littérature, donc ce papier il est de 1906, c’est au Journal of American Medical Association, c’est un journal qui en tout cas aujourd’hui est prestigieux. C’est un papier qui est bien fait, évidemment il y a pas de biopsie, parce qu’on n’en faisait pas à l’époque, évidemment il y a pas de scanner ou d’IRM ou de PETSCAN, mais enfin je veux dire il n’y a pas de raison non plus qu’il se soit trompé, et surtout il y a toute une littérature que je n’ai que partiellement fouillée de textes de la même époque qui émane d’une culture d’origine allemande. C’est là où il y en a le plus, mais moi je n’arrive pas à lire les les textes allemands anciens parce qu’ils sont en gothique, et que c’est au-delà de mes capacités, bien que je sois Alsacien.
Mais il y a un papier, il y a une thèse en français par un docteur Rambaud, qui exerçait à Bordeaux en 1893, qui dit lui aussi que le bleu marche. Donc on se retrouve avec la redécouverte de publications anciennes concordantes et multiples, disant que le bleu de
méthylène marche.
Alors ce que nous on a fait, avec le groupe que j’anime et qui me porte, c’est qu’on a essayé un petit peu d’y comprendre quelque chose, alors c’est comme toujours, on peut être soit dans le dogme, soit à l’extérieur, on peut être dans le système, on peut être “refusnique”, ça c’est des choses qu’on ne choisit pas.
Mais au fond il y a deux grands sujets majeurs en cancérologie, un, la cellule maligne doit être tuée, ça c’est une idée qui date grosso modo des maladies infectieuses, on guérit les maladies infectieuses, le cancer ça doit ressembler aux maladies infectieus, faut tuer le cancer, et c’est toute l’idée de la chimiothérapie anticancéreuse.
Et en 1942 à l’Université de Yale, on commence à utiliser pour la première fois des dérivés des gaz de combat, et on voit que le traitement fonctionne. Le malade qui a un lymphome, il y a une biopsie là par contre, et de fait ce lymphome régresse, mais très rapidement la tumeur repousse, le malade meurt, et en plus il a les effets secondaires.
Et ça c’est quelque chose qu’on retrouvera tout le long de l’histoire de la cancérologie moderne, des réponses tumorales, des effets secondaires et malheureusement fréquemment mais pas toujours heureusement, des reprises tumorales.
Et le deuxième grand dogme c’est, comme c’est compliqué, nous avons les outils par l’informatique à l’époque, l’intelligence artificielle aujourd’hui, pour démêler tout ça. C’est l’histoire du programme génétique, on s’imagine que nous sommes codés génétiquement, que tout ce qui nous arrive à une explication génétique.
Alors c’est vrai jusqu’à une certaine limite, la couleur des yeux et des cheveux, ou tout ça c’est génétique, mais les maladies les plus courantes n’ont probablement pas d’explication génétique majeure.
Et on s’imagine que c’est pas parce qu’on l’a pas trouvé qu’elle n’est pas là, et nous nous retrouvons donc dans deux paradigmes qui vont être majeurs, il faut tuer les cellules, et on va arriver à tuer les cellules uniquement quand on aura compris toute la subtilité du programme génétique.
Et ça c’est c’est le dogme, et comme toujours dans le dogme vous avez des “refusniques”, qui disent que c’est pas comme ça que ça se passe, que c’est probablement plus simple, que le cancer n’est pas une maladie complexe, mais au fond tous les cancers présentent les
mêmes caractéristiques.
Le premier “refusnique” qui était tout de même prix Nobel, Otto Warburg, qui fait partie de la grande école des chimistes allemands des années 1910 -1950, il comprend que les cellules
cancéreuses captent le sucre, que ce sucre les alimente, mais qu’elles ne peuvent pas les brûler, ça s’appelle en français courant une fermentation.
Les cellules fermentent, elles font de la masse, et comme elles font de la masse ça polymérise, comme aurait dit Romain qui est là-bas.
Et la cellule chauffe un peu et elle se divise en deux. Donc Otto Warburg, comprend dans les années 20, que tous les cancers sans aucune exception, et c’était un sujet de d’intense débat avec Frédéric Bouillot, que tous les cancers fermentent, et que c’est probablement pour cela qu’ils font de la masse.
Le deuxième “refuznic” c’est Albert Szent-Giorgyi, alors c’est un nom impossible à retenir, il est lui aussi prix Nobel, il découvre dans les années 1930 la vitamine C, il est capable d’isoler la vitamine C dans le paprika, parce qu’il vient de Hongrie et qu’en Hongrie il n’y a pas d’orange, mais il y a du paprika, et que le paprika a beaucoup de vitamine C dedans. Donc il est quelqu’un d’extrêmement connu par sa découverte de la vitamine C. Il est obligé de fuir la Hongrie, et fuyant la Hongrie va aux États-Unis, et il ne trouve de place que dans un institut de biologie marine, où il se met en tête de comprendre le cancer.
Et ça explique aussi pourquoi ça n’a pas eu d’avenir, c’est que se retrouvant dans un institut de biologie marine, il n’y avait pas de cancérologue à côté, il n’y avait pas de malades, et donc ce qu’il a fait a été oublié. Ce qu’il comprend et c’est fondamental, c’est qu’une cellule quand elle est bien nourrie elle est là pour se diviser, la cellule normale quand elle a à manger elle se divise.
Et il comprend quelque chose de fondamental, qu’a re-compris Romain, c’est que la raison de la division cellulaire, c’est l’excès d’électrons.
Je va faire maintenant un petit arrêt pour réexpliquer un petit peu la biologie, je ne vais pas rentrer dans les détails, mais au fond, vous ou moi ou Anne-Catherine ou n’importe qui d’autre, nous fonctionnons par une réaction chimique, nous prenons des électrons, des protons à l’alimentation, nous les lions à l’oxygène, et nous faisons de l’eau. Vous et moi faisons un demi litre d’eau par jour, et c’est la réaction chimique la plus puissante qui soit, et si vous voulez envoyer une fusée sur la lune, c’est avec des électrons et des protons, vous mettez une allumette et c’est comme ça que ça part, ça s’appelle la respiration cellulaire.
Et vous respirez, vous faites votre demi litre d’eau par jour, et c’est ça qui vous donne l’énergie. Et en biologie tout est fait pour ralentir le système, parce que si vous le faites à tout berzingue, vous explosez !
Et si ça ne se passe pas, si vous ne respirez pas, eh bien ça s’appelle la maladie, et la maladie a un autre mot, un autre synonyme, c’est la fermentation.
Dans l’ensemble des maladies vous faites de la masse, vous faites de la masse parce que vous ne brûlez pas bien, et cette masse va faire qu’une cellule se divise en deux, ça s’appelle de la fermentation. Donc la biologie peut-être comprise par deux choses, la respiration, l’oxydation c’est la vie, tout va bien, vous brûlez, vous faites de l’énergie, de l’ATP, dont on parlait plus avant, soit vous fermentez, et si vous fermentez vous faites de la masse, et si vous faites de la masse, les problèmes arrivent, que ce soit de la masse cancéreuse, que ce soit de la masse sous forme de dépôt amyloïde, ou ainsi de suite.
Comprendre ce point crucial est fondamental, et qu’est-ce que va faire le bleu, il va empêcher de faire de la masse.
Je voudrais juste revenir parce que c’est fondamental, après je reparlerai sur la clinique, c’est un exemple simplifié, ne rentrez pas dans les détail c’est illisible, mais ça c’est le cœur du mécanisme cellulaire, c’est le cycle de KREBS. Alors on peut vous le faire horriblement compliqué avec un enzyme qui fait guili guili à un autre enzyme, qui vous donne un nom barbare et impossible à faire, mais en réalité tout ça c’est que de l’électronique.
Et le cancer, c’est une suite de court-circuits électroniques. Donc on se retrouve avec deux choses, un problème intellectuel, combien d’électrons je dois enlever et ainsi de suite, et des malades qui sont ici, là et maintenant. Et au fond comment peut-on enlever cet excès d’électrons qui est responsable de la fermentation, et comme disait Szent-Giorgyi, et donc de la prolifération ?
Alors comment enlever ça, premièrement vous mangez moins, d’où l’idée de mettre les malades en régime hypoglycémique, cétogène, vous en avez des variations. Moi j’aime bien le lait de vache, quoi qu’on raconte, on a une discussion à midi, il est où, il est là, ouais, on est pas tout à fait d’accord.
Troisième point, relancer la mitochondrie, vous pouvez la relancer par du sport, de la gymnastique, du footing ou des médicaments, type acide lipoïque, hydroxycittrate, et surtout enlever les électrons.
Et vous pouvez enlever ces électrons de deux façons, que moi je sache, c’est un, le bleu de méthylène, le bleu de méthylène prend des électrons, change de couleur et il les envoie à l’extérieur de la cellule, et ça explique probablement ce papier de 1906.
Et l’autre chose qui pour moi est redoutablement efficace c’est le dioxyde de chlore.
Alors le bleu de méthylène, je vous rappelle c’est 1876, efficacité dans à peu près toutes les maladies, d’autant plus qu’une grande partie des médicaments que vous connaissez aujourd’hui, sont des dérivés du bleu méthylène, les sulfamides, les diurétiques, les anti dépresseurs, la chlorpromazine, la chloroquine dont on a beaucoup parlé, tous ces médicaments viennent du bleu de méthylène.
Et l’autre médicament qui peut vous enlever ces électrons, c’est le dioxyde de chlore. Alors le dioxyde de chlore est connu parce que c’est un désinfectant, qui lui ne date pas de 1876 mais de la Révolution française, donc qu’il est plus âgé. Il est utilisé pour aseptiser l’eau que vous buvez ou les piscines pour les bourgeois qui ont des piscines, mais pris à bonne quantité, à bonne dose, c’est redoutablement efficace dans le traitement du cancer.
Donc les patients parleront par eux-mêmes, c’est un des patients qui est là, vous voyez que son cancer de la prostate, vous voyez que le PSA monte, c’est une rechute, excusez-moi j’arrive pas, bon enfin vous voyez que ça monte jusqu’au moment où on met du dioxyde de chlore et du bleu de méthylène, de l’acide lipoïque et de l’hydroxycytrate, du fondant Suisse parce qu’il faut bien vivre, et de la marche.
Et vous voyez aussi que ces courbes sont fondamentalement fluctuantes, que ça monte et ça baisse, mais qu’au moment où on a mis ça, le cancer récidivant après une intervention dont il vous parlera lui-même.
Voilà, donc là maintenant se pose la question de l’étape suivante, l’impression que j’ai qui n’est qu’un terme d’impression, c’est que quand le cancer n’est pas sur un mode inflammatoire majeur, si le malade n’est pas en train de mourir, ou s’il n’a pas eu des lignes de chimiothérapie les unes derrière les autres, on arrive fréquemment, et je ne peux pas définir le terme de fréquemment, à le stabiliser ou le ralentir.
Donc se pose la question d’un essai thérapeutique, alors vous savez quand on n’est pas totalement dans les clous, malgré l’aide de ma femme et des autres, on y est pas arrivé, mais Mireille Suma qui est une mathématicienne à Dauphine, avec qui j’ai bossé, dit qu’un essai devrait comporter 20 à 40 malades pour démontrer ça.
Tout ça pour vous dire que ça n’est pas du domaine de l’insurmontable, donc probablement le cancer était compris en 1906, probablement le traitement était là, on peut arriver à relire ce qu’ont dit les anciens, avec de la physique quantique, avec des électrons, et avec du travail.
J’ai oublié de vous dire qu’en début d’année nous avons publié, grâce à la Fondation, un travail qui confirme que le bleu de méthylène ralentit la croissance des tumeurs sur les souris canadiennes, donc on ne sait pas ce que ça donne sur les souris françaises.
Mais tout ceci donne une haute probabilité que c’est par là que ça se joue, évidemment on est dans une période de transition, évidemment moi je suis le plus à l’aise devant les équations, j’aime beaucoup ça les malades, c’est déjà plus dur pour moi, et au fond je ne sais pas comment jouer le coup suivant, qui est évidemment d’une validation de tout ce que je suis en train de vous raconter, et d’une dissémination de tout cela. Je vous remercie.
Santé interdite, Incurable c´était hier Broché – 10 novembre 2022
de Andreas L. Kalcker (Auteur)
Un livre de plus de 300 pages, avec des témoignages concrets, exposant les expériences des utilisateurs dans le traitement de toutes sortes de maladies. Une liste qui couvre les pathologies classées de A à Z et les protocoles qui ont été suivis pour améliorer l’état de santé de ceux qui y participent. Il comprend également un grand nombre d’informations scientifiques sur les données produites par la recherche sur l’utilisation du dioxyde de chlore et d’autres substances moins connues ou oubliées.
Écrit dans un langage simple et didactique, ce livre explique la véritable origine des maladies et expose les traitements possibles pour des pathologies considérées comme incurables. C’est précisément pour cette raison, et en raison du grand nombre de faits, de chiffres, de documents et de notes qu’il contient, que Santé interdite promet d’être un livre controversé et riche en arguments qui révèle les avantages de l’utilisation du dioxyde de chlore pour soulager de multiples maux et affections.
Tout d’abord je vous souhaite de bonnes fêtes de fin d’année, et une heureuse année 2020.
Merci aux personnes qui m’ont envoyé leur témoignage de gratitude et celles qui m’ont proposé de reprendre le site. J’ai trouvé la personne idéale, qui a plein de projets et une bonne expérience dans les domaines nécessaires, et je lui passerai donc les accès aux sites dès janvier 2020.
Donc voici mon dernier cadeau d’espoir pour les fans du MMS, un article sur un médecin oncologue francais qui parle du MMS dans ses livres et lors de ses conférences, dans la lutte contre le cancer.
Je remercie “Didou” pour m’avoir envoyé un lien vers ce docteur que je ne connaissais pas.
Dans son livre “Cancer : un traitement simple et non toxique” il mentionne dans le chapitre 10 :
“D’autres molécules pouvant potentiellement agir sur le pH pourraient être explorées par la recherche. Le dioxyde de chlore est un agent aseptisant utilisé, à dose faible, pour désinfecter les eaux de boisson. Le dioxyde de chlore est une entité chimique bien connue des chimistes mais peu étudiée en médecine. Ajouté au milieu de culture il pourrait abaisser le pH dans les cellules tumorales.”
BIen que cette description puisse paraitre “timide”, il décrit bien la prise de dioxyde de chlore par un de ses patients, et que celui-ci n’est évidemment pas le premier à en avoir pris.
Par contre dans sa dernière vidéo de 2019 à la Cité des Sciences de Paris (voir ci-après), il mentionne que les effets du MMS ne semblent durer que 2 ou 3 ans, après lesquels les cancers reviennent. C’est déjà bien par rapport à des espérances de vie de quelques mois ou semaines, mais cela prouve que ce n’est pas la solution unique, et que cela ne semble que traiter des symptômes, et non la source du problème, que seule une alimentation de type méditerranéenne peut résoudre, en comblant les carences en micronutriments engendrés par des décennies de nourriture moderne, faite de produits transformés et en quantités excessives.
Connaissant les travaux du Dr Matthias Rath qui explique que le cancer se propage par la destruction des fibres de collagène qui entourent les cellules, et le fait que le ClO2 (dioxyde de chlore ou MMS1) neutralise la vitamine C, je pense que le problème vient du fait que le corps manque de vitamine C puisque le ClO2 la neutralise, et donc le corps ne peut pas reconstituer son collagène, ce qui est très detrimental sur le long terme.
Malheureusement le Dr Laurent Schwarz n’a aucune connaissance sur la vitamine, comme il le dit honnêtement.
Ses propres découvertes ne concernent pas le dioxyde de chlore, puisque ce sont des patients qui lui ont fait découvrir le MMS1. Lui avait déjà des résultats spectaculaires pour stopper les cancers avec les molécules qu’il a trouvées comme étant efficaces, quand utilisées en synergie.
Sa théorie est que le cancer est un dérèglement métabolique des cellules, qui ne fonctionnent plus normalement, et qui se mettent à fermenter le sucre et à grossir, au lieu de brûler le sucre.
Depuis 20 ans il a investi ses deniers et ceux d’un groupe d’amis, pour financer des recherches de laboratoire pour trouver des molécules simples qui agissent contre cette fermentation des cellules.
Et il en a trouvé plusieurs, qu’il décrit ouvertement dans ses livres et lors de ses conférences.
Par contre il explique bien aussi dans ses livres, les pressions et les brimades qu’il subit pour mener ce genre de travail, malgré les nombreux patients sauvés qui témoignent de ces succès, et qui vivent encore des années après avoir reçu un diagnostic fatal à quelques mois.
C’est pour moi un des plus grands héros et vrai medecin qui existe en France, puisqu’en plus de sauver des malades, il ose en parler publiquement
Nous vivons vraiment dans un monde ou des prédateurs institutionnels et financiers nous laissent souffrir en nous empêchent d’accéder aux solutions de guérison, pour conserver leurs profits financiers, et peut-être même pour remplir un agenda encore plus noir que cela…
Nous ne pouvons rien attendre du gouvernement, puisqu’il travaille sous les ordres des banquiers qui le financent, donc c’est bien à nous d’agir, en faisant passer l’information autour de nous, et en la faisant remonter auprès des politiciens et décideurs, dont bon nombre sont d’honnêtes personnes mais qui ont les mains liées et la peur au ventre.
La solution viendra du peuple qui s’unira pour faire respecter ses droits et sa dignité de vivre en profitant de la transparence des connaissances utiles, qui doivent être partagées entre toutes et tous, même si cela engendre des pertes financières et d’emplois au niveau de ces multinationales prédatrices.
Merci à vous d’avoir pris le temps de lire.
PS : Un fabricant de MMS m’a demandé de retirer le lien vers son site internet, car il veut continuer à le faire connaître par le bouche à oreille, et éviter les pressions extérieures pour le pousser à fermer.
Pour trouver du MMS il faut s’armer de courage et bien chercher sur internet, en passant par des moteurs de recherche ou des forums de discussion, ou en se renseignant dans les épiceries Bio ou auprès de praticiens alternatifs.
Ce produit est banni du domaine public, et des pressions sont faites sur ses vendeurs, fabricants et utilisateurs… avec des méthodes qui passent au dessus des lois, sans procès ni mandats de justice. Comme mon site internet qui a été mis hors ligne juste sur demande auprès de l’hébergeant, sans décision de justice ni autre.
Ou encore cet ancien fabriquant qui voyait ses comptes bancaires fermés les uns après les autres, simplement parce qu’il vendait du MMS et du DMSO !!! Il semble que ces gens n’est qu’à appeler une banque ou tout autre entreprise, et leur faire fermer ce qu’ils veulent, sans jugement ni aucun document officiel… c’est vraiment frustrant et choquant a vivre, mais après tout, nos aïeux ont connu bien pire avec les nazis, et des milliards de nos congénères vivent encore aujourd’hui sous ces pressions totalitaires dans de nombreux pays du monde !
Alors soyons courageux et volontaires, et regagnons notre liberté dans la paix et l’intelligence.
83 études scientifiques issues de PubMed sur le ClO2 comme virucide
Bonjour,
Pour mieux vous informer sur le MMS1 de Jim Humble, le dioxyde de chlore, l’ion ClO2, je viens de passer plusieurs jours à étudier des publications scientifiques sur le ClO2, pour trouver ce qui a été prouvé sur ses capacités à détruire les virus, et quels types de virus.
Je n’ai traduit que le titre et les résumés et conclusions de ces études, évitant les redondances de sujets, et vous verrez que c’est assez facile à lire et à comprendre.
J’ai passé en revue uniquement les 83 résultats de PubMed (Publications Médicales) pour la recherche “chlorine dioxide virus”, mais il y en a beaucoup d’autres.
Par exemple la recherche PubMed “chlorine dioxide infection” donne 463 résultats (dont 45 en commun avec “virus”), et la recherche “chlorine dioxide bacteria” donne 585 résultats.
On voit donc que le ClO2 a été le sujet de nombreuses études scientifiques depuis des dizaines d’années, dans le milieu médical, mais aussi dans de nombreuses autres industries. Et c’est sans compter les publications uniquement nationales qui n’ont pas été traduites en Anglais, provenant de tous les autres pays, comme la Chine et tous les pays d’Asie qui ont chacun leur propre langage, l’Allemagne et tous les autres pays d’Occident qui ont chacun leur propre langue, l’Amérique du Sud, l’Afrique, le Moyen-Orient…
C’est très certainement des milliers d’équipes de scientifiques qui ont étudié le ClO2 sous toutes les coutures, depuis plusieurs décennies. Ceci démontre à quel point c’est un produit commun et bien connu.
Et pourtant tout usage individuel est banni, pas interdit par la législation, mais banni par des forces apparemment au-dessus des lois. Par exemple les livres parlant du ClO2, des dizaines par différents auteurs, ont tous disparus et sont inaccessibles à l’achat. Pour avoir contribué bénévolement au développement du MMS depuis des années en aidant plusieurs de ses acteurs, j’ai reçu nombre de témoignages d’auteurs ou de vendeurs de MMS qui me parlaient des menaces qu’ils recevaient, des courriels d’intimidations provenant d’agences gouvernementales américaines, alors qu’ils n’étaient pas eux-mêmes citoyens américains, et résidaient à des milliers de kilomètres de ce pays.
Les livres retirés des plateformes de vente en ligne, les sites internet fermés sans justification, les comptes en banque fermés pour cause de vente de MMS, même à l’autre bout du monde, et tout cela sans jamais avoir un seul jugement judiciaire officiel pour justifier de ces actions ! Il faut le vivre pour le croire, la force de ces groupes qui agissent au-dessus des autorités judiciaires, et pourtant s’appellent “agences gouvernementales”. Mais bon, ce n’est pas le sujet de ce travail.
J’ai fait ce long effort pour vous montrer ce que les scientifiques disaient, et disent encore, en Anglais, sur le ClO2, et ses capacités microbicides sont apparemment larges et efficaces.
Ces 83 études prouvent l’efficacité du ClO2 contre ces virus et bactéries :
Les virus :
Le coronavirus SRAS-CoV.
Le virus de la grippe humaine.
Les virus des grippes porcine et aviaire, H5N1 et H1N1.
Les virus de l’hépatite A, de l’hépatite B, de l’hépatite C (VHC).
Le virus VIH-1 du SIDA.
Le virus de la poliomyélite, poliovirus de type 1 (PV1), un Enterovirus.
Le virus de la rougeole, un morbillivirus de la famille des Paramyxovirus.
Le virus de l’herpès humain, herpes simplex virus (HSV).
Les papillomavirus, causant des maladies sexuellement transmissibles.
Les norovirus, dont norovirus humain (HuNoV), présents sur les aliments et qui provoquent la gastro-entérite.
Les rotavirus, dont humain d’origine hydrique (VRC) et simiens.
Les adénovirus, dont l’adénovirus humain.
Le virus calicivirus félin ou FCV, de la famille Caliciviridae, responsable de calicivirose chez les chats.
L’herpès félin et le parvovirus félin.
Le virus de la maladie de Carré, un paramyxovirus proche de l’agent de la rougeole humaine et de celui de la peste bovine.
L’adénovirus canin et le parvovirus canin.
Le virus de la fièvre catarrhale.
Le virus de la tremblante du mouton.
Les virus bactériophages PRD1, phiX174 et MS2.
Les bactéries :
La bactérie Staphylocoque doré.
La bactérie Escherichia coli O157, un sérotype d’Escherichia coli, responsable de la colite hémorragique, le syndrome hémolytique et urémique, et le purpura thrombotique thrombocytopénique.
La bactérie Salmonella Montevideo, qui provoque des gastros.
La bactérie Mycobacterium tuberculosis, responsable de la tuberculose, une mycobactérie comme le bacille de la lèpre.
La bactérie Mycobacterium terrae, provoquant des infections cutanées graves, qui sont « relativement résistantes à l’antibiothérapie ».
La bactérie Bacillus subtilis, qui peut exceptionnellement provoquer une intoxication alimentaire.
Les bactéries Pseudomonas aeruginosa, Acinetobacter baumannii.
La bactérie Mycobacterium avium, une mycobactérie opportuniste chez l’homme.
Le biofilm bactérien.
Les levures :
La levure Candida albicans, la plus importante du genre Candida.
L’étude 29 résume bien en une phrase les effets du dioxyde de chlore :
“Le gaz ClO2 peut détruire toutes sortes de micro-organismes, y compris les bactéries, les spores, les champignons, les virus et même les protozoaires.”
Après la revue de ces 83 études scientifiques concernant tous ces agents pathogènes, responsables des pires maladies humaines qui y sont prouvés comme étant désactivables par le ClO2, on peut se dire finalement que Jim Humble n’a pas tout à fait tort en disant que cette molécule peut nous guérir de la grande majorité de nos maladies !
Je précise qu’il semble qu’aucun produit désinfectant étudié ne fonctionne dans tous les cas, avec tous les virus ou dans toutes les conditions de pH, de turbidité ou de température, mais ces études prouvent que le ClO2 est utilisé dans de très nombreuses industries, et a souvent plus d’efficacité que le chlore qui est beaucoup plus utilisé, peut-être car il est plus facile à stocker et à manipuler.
Mais pourquoi censurer les informations et les livres de Jim Humble et tous ceux sur le dioxyde de chlore auprès du grand public, alors que c’est un puissant désinfectant qui élimine nombre de nos agents pathogènes, et qui nous donnerait une autonomie individuelle en cas d’épidémie ou de pandémie, et même au quotidien pour nous maintenir en bonne santé sans devoir nous rendre dans des centres médicaux à chaque fois, engendrant des coûts que nous ne pouvons clairement plus supporter en tant que communauté.
Bien sûr, comme face à tout processus chimique, la biologie trouve un chemin pour continuer, et au fil du temps s’effectue une sélection d’organisme résistants.
Selon ces études, des mutations d’organismes pathogènes peuvent les rendre résistants au ClO2, mais est-ce une raison suffisante pour en interdire l’utilisation par des particuliers ? Je ne pense pas, la raison doit être autre, car ils ne nous laissent même pas parler du ClO2.
Par exemple, tout le monde sait que des bactéries résistantes aux antibiotiques apparaissent de plus en plus, et que c’est dévastateur dans certains pays, mais on continue à utiliser ces antibiotiques. Donc l’information passe concernant les antibiotiques, mais pourquoi pas concernant d’autres désinfectants communs, comme le dioxyde de chlore, l’hypochlorite de calcium ou de sodium, ou le peroxyde d’hydrogène ?
La situation se complique progressivement, mais ce n’est pas une raison valable pour occulter certaines méthodes qui aujourd’hui peuvent sauver des millions de vies et faire économiser des centaines de milliards qui pourraient être dépensés en recherche et pour la formation de scientifiques.
On pouvait penser que cela résidait dans “l’invincibilité” ou “la super puissance” du ClO2, mais ce n’est pas le cas, c’en est juste un parmi de nombreux désinfectants, et il n’est pas le plus efficace dans toutes les situations, donc il n’est pas “ultime” et à conserver comme “le moyen de la dernière chance”.
Et pourtant des milliers de témoignages vidéo et écrits sont accessibles sur internet, même encore aujourd’hui malgré la censure grandissante des plateformes internet.
Alors pourquoi ne pas faire rentrer le ClO2 dans la pharmacie quotidienne, comme le sont d’autres désinfectant ou les antibiotiques ? C’est vraiment intrigant, n’est-ce pas ?
Voilà pour aujourd’hui, j’espère que cet effort servira à éclairer quelques esprits penseurs, utilisateurs ou chercheurs de plus :O) Bon confinement à tout le monde.
Un petit message important concernant le virus actuel !
Une triple coïncidence m’a motivé à vous écrire au plus vite. D’une part j’avais vue la vidéo récente de l’IHU de Marseille qui stipulait que nous devrions tester les gens en prenant leur taux d’oxygène dans le sang, ce qui se fait avec un simple Oxymètre à 30 euros, et qui prend 20 secondes.
Hors il se trouve que j’ai rencontré lundi un proche dont le fils est Pompier de Paris, et qui m’a dit que depuis le mois de mars 2020 les pompiers utilisent ce taux d’oxygène dans le sang, la saturation oxygène, pour décider très rapidement si un patient est suspecté contaminé « virus actuel » ou pas. Et donc en quelques secondes ce résultat déclenche ou pas leur mise en combinaison spéciale et évacuation sanitaire en urgence. Les pompiers sont des héros !
Cela faisait donc 2 coïncidences sur ce sujet, dont j’avais déjà entendu parler le « Dr Marseillais », sur le fait que l’hypoxie, ou le manque d’oxygénation est un signe fort de la contamination éventuelle. Alors on se demande pourquoi personne, à part les pompiers, n’en a entendu parler, et surtout pourquoi ces Oxymètres ne sont pas recommandés par le gouvernement pour tester sa propre santé en général, en tant que sportif ou juste particulier, et surtout dans cette crise sanitaire actuelle ?
Moi j’utilise un oxymètre depuis de nombreuses années, lorsque je vivais en Thaïlande c;est courant là-bas, et d’en d’autres pays aussi, où le ministère de la santé et ses cotisations obligatoires ne sont pas aussi lourds et présents dans la vie des gens, et où chacun est plus responsable de sa propre santé, et se repose moins sur un Etat paternaliste…
Bref, l’oxymètre est un objet utilisé dans de nombreux pays du monde, mais pas en France, allez savoir pourquoi ? L’IHU recommande donc d’aller immédiatement à l’hôpital si votre taux d’oxygène est inférieur à 95%. Je savais qu’à moins de 95% ont est considéré comme presque mort, vu qu’en dessous de 97% on est déjà inquiet ou malade. Par contre après une journée ou deux de jeûne il peut m’arriver que mon taux passe sous les 95, mais c’est un cas à part, c’est volontaire.
J’ai moi-même souvent 99% et une fois je suis allé dans un grand hôpital pour un check-up, à Bangkok, et l’infirmière m’a regardé avec stupéfaction quand l’oxymètre, ils utilisent les mêmes quùon trouve dans le commerce, a montré 100% de saturation en oxygène ! Et oui, je venais de marcher 1 heure dans les rues, et je prenais du NAD+ ainsi que des mégadoses de vitamine C au quotidien, donc malgré mes cheveux gris, mon âge cellulaire est beaucoup plus jeune, ce à quoi elle ne s’attendait pas.
Revenons à la raison de cet article, qui est le fait que j’ai été inspiré récemment de faire une page sur Andreas Kalcker, un des chercheurs qui se consacre au Dioxyde de Chlore. et donc hier en faisant des traductions, j’ai découvert qu’il avait essayé le ClO2 contre le « virus actuel » et annonçait depuis le mois de mars 2020, que les gens ne mourraient pas de fibrose pulmonaire, mais de manque d’oxygène dans le sang !!!
Et voilà, la troisième coïncidence en 3 jours sur le fait que les patients du « virus actuel » manquent d’oxygène, et que le ClO2 est une solution !
Je ne pouvais pas laisser passer cela, et c’est pourquoi je vous écris maintenant, en espérant faire bouger les choses et en passant les bonnes infos, et peut-être cela sauvera encore quelques vies de plus. Si vous connaissez le « Pr Marseillais » faites-lui passer ce message, le ClO2 semble encore plus efficace que les mégadoses de vitamine C ou les médicaments qu’il utilise déjà.
Andreas Kalcker participe à des essais du ClO2 dans plusieurs hôpitaux, dont certains de l’armée, dans plusieurs pays, et l’IHU pourrait les rejoindre, voir dans ma traduction de sa vidéo sur la page dédiée, voir lien plus bas.
Depuis plusieurs vidéos de l’IHU ils expliquaient qu’ils avaient trouvé qu’ils pouvaient sauver pas mal de vies en mettant simplement les patients sous fortes inhalation d’oxygène, et que cela ne nécessitait donc pas d’hospitalisation en réanimation, ce qui évidemment n’intéresse pas le conseil scientifique des collabos-pharnaceutiques…
Donc voici les vidéos :
Une des vidéos de l’IHU qui explique que la suroxygénation est une solution :
La vidéo de l’IHU qui explique qu’on peut diagnostiquer rapidement, comme le font les pompiers, avec un oxymètre, et qui fut ma première coïncidence :
Et pour finir la vidéo en Anglais, qui montre la réoxygénation incroyable que produit l’apport d’un peu de ClO2 dans le sang stagnant , déjà vue 45 000 fois sur cette plateforme alternative, car censurée sur YouTrube :
J’ai découvert pour la première fois que le MMS (dioxyde de chlore) peut aider les gens à retrouver leur santé, il y a 24 ans. Depuis ce temps, plus de 2 millions de personnes ont recouvré leur santé d’à peu près toutes les maladies connues, dans un total d’environ 175 pays différents. De nombreuses personnes l’utilisent maintenant de diverses manières, dans le monde entier pour un large éventail de maux / maladies.
Et maintenant, pour une bonne nouvelle – il y a deux jours, nous avons appris que 14 personnes qui étaient des cas confirmés de COVID-19 (en Europe), ont pris du MMS et ont retrouvé leur santé. Tous ces tests ont été positifs et lorsqu’ils ont été re-testés après avoir pris du MMS, ils se sont révélés négatifs pour le COVID-19. De plus, nous avons maintenant d’autres témoignages provenant de diverses parties du monde, de personnes atteintes de coronavirus qui ont pris du MMS et se sont rétablies. Mis à part ce qui m’est venu directement, nous avons vu d’autres témoignages sur des pages Web et dans des commentaires sur Internet de personnes qui ont pris du MMS et se sont rétablies du virus.
Ceux d’entre nous qui ont utilisé du dioxyde de chlore (MMS1) au cours des années s’attendaient certainement à ce qu’il fonctionne également avec ce virus, mais nous voulions être sûrs et maintenant avec ces données, nous sommes convaincus que le bon mélange de dioxyde de chlore (MMS) a tous les l’espoir d’éradiquer le COVID-19.
La prochaine question que je prévois va être dans l’esprit de tout le monde : qu’ont fait ces gens contre le COVID-19 ? Quel protocole ont-ils suivi ? Dans les rapports que nous avons reçus, les gens ont fait différentes choses qui ont fonctionné. J’espère ici apporter un peu de clarté à ce sujet.
Le MMS est une substance incroyable. J’ai défini des directives très spécifiques dans mon dernier livre sur la façon d’utiliser le MMS, et j’encourage personnellement les gens à suivre ces directives – mais le MMS est très indulgent, et bien que nous établissions des protocoles spécifiques pour diverses choses, il est important de rester ouvert. C’est pourquoi je préconise fortement les trois règles d’or du MMS. Quiconque a déjà entendu parler de moi personnellement sait que je pointe toujours les gens vers les trois règles d’or du MMS, qui aident essentiellement un individu à déterminer la dose appropriée pour lui personnellement.
En bref, les trois règles d’or du MMS sont :
1 – Si vous vous améliorez, ne changez rien. Continuez ce que vous faites – continuez à faire la même dose.
2 – Si vous vous sentez pire – montrant des signes de nausée, de diarrhée ou de vomissements, réduisez votre consommation de MMS de 50%. Réduisez, mais n’arrêtez pas — continuez le dosage horaire.
3 – Si vous ne vous améliorez pas, ni ne vous aggravez – s’il n’y a aucun signe d’amélioration, augmentez la prochaine fois ou passez au protocole suivant, augmentez votre consommation de MMS.
J’ai exposé ces principes dans cette lettre, car il est très important de le savoir et parce qu’en ce moment, même dans la communauté du MMS, il y a une variété de recommandations sur la quantité de MMS à prendre pour le coronavirus.
Certains dosages suggérés sont des dosages plutôt élevés, d’autres dosages suggérés se situent sur la face inférieure et d’autres au milieu. Toutes les diverses suggestions peuvent être bonnes et toutes peuvent fonctionner, mais peut-être pas pour tout le monde. N’oubliez pas que nous sommes tous bio-individuels. Chaque personne est différente et ce qui peut se passer dans le corps d’une personne est différent de la personne suivante. Il y a tellement de variables qui entrent dans l’équation.
Avec le MMS, certains peuvent faire mieux avec une approche basse et lente, même avec un coronavirus, et d’autres peuvent nécessiter une dose plus élevée.
C’est pourquoi vous devez prêter une attention particulière à ce que votre corps vous dit et suivre les trois règles d’or du MMS afin de pouvoir ajuster les protocoles en fonction de ce que votre propre corps demande ou exige. Alors souvenez-vous de cela, je ne peux pas le dire assez. Si vous prenez une certaine dose de MMS et que vous commencez à vous sentir moins bien, réduisez votre dose. Si vous prenez une certaine dose et que vous ne voyez aucun résultat, augmentez votre dose. Adaptez le protocole à ce qui vous convient.
Cela dit, nous avons vu au fil des ans que la prise de MMS sous la plupart des formes donne de bons résultats d’une manière ou d’une autre. Quant à mes conseils, voici ce que je suggérerais pour le coronavirus :
(Veuillez noter, surtout si vous êtes nouveau avec le MMS : ci-dessous, je parle de doses de 3 gouttes et de 6 gouttes de MMS. Toutes les doses de MMS sont faites en prenant des gouttes de solution de chlorite de sodium à 22,4% dans de l’eau distillée et en les mélangeant avec des gouttes d’un activateur acide de qualité alimentaire. Habituellement, 50% d’acide citrique ou 4% de HCl (acide chlorhydrique) sont utilisés et à ces pourcentages, vous mélangez les gouttes, goutte pour goutte.
Une dose de 3 gouttes signifierait prendre un verre propre et sec et mettre 3 gouttes de la solution de chlorite de sodium et 3 gouttes de l’activateur d’acide dans le verre. Agitez doucement les gouttes pour qu’elles se mélangent et comptez 30 secondes. Le mélange devrait prendre une couleur ambre.
Ensuite, ajoutez 120 ml d’eau purifiée et buvez-la. Toutes les doses de MMS sont prises dans 1/2 tasse (4 onces / 120 ml) d’eau. Quand je dis une dose de 3 gouttes ou une dose de 6 gouttes, il va sans dire que cela signifie que les gouttes sont mélangées comme indiqué ci-dessus et ajoutées à l’eau. Ne jamais prendre de gouttes de MMS sans ajouter d’eau. Pour plus de détails sur le mélange d’une dose de MMS, veuillez consulter le guide de rétablissement de la santé MMS pour les instructions.)
Si vous avez le COVID-19 :
Suivez les protocoles 6 et 6 pour commencer. Il s’agit d’une dose de 6 gouttes de MMS, puis une heure plus tard, prenez une autre dose de 6 gouttes de MMS.
Après deux doses de 6 gouttes de MMS, prenez des doses horaires de 3 gouttes activées dans 4 onces d’eau toutes les heures. MAIS montez jusqu’à 3 gouttes par heure, commencez par 1 goutte pour une dose ou deux, puis montez jusqu’à 2 gouttes, puis 3 gouttes – c’est-à-dire, si votre corps le tolère, sinon, diminuez cette dose, mais continuez à prendre des doses horaires pendant huit heures consécutives par jour.
Je suggère que les doses horaires de MMS chaque jour (pendant 8 heures consécutives) soient maintenues pendant une période de 3 semaines (21 jours). Même si l’on se sent complètement rétabli et ne présente aucun symptôme, il serait prudent de maintenir le protocole de 3 semaines. C’est dans le but de détoxifier le corps et donc de renforcer le système immunitaire, ainsi que de se prémunir contre les rechutes.
Après 21 jours, si tout va bien, je suggère de prendre une dose d’entretien quotidienne de MMS. Il s’agit d’une dose de 6 gouttes de MMS par jour et continuez.
Pour les enfants, suivez les mêmes instructions que ci-dessus et réduisez les quantités de moitié.
Si vous n’avez pas le coronavirus mais savez que vous avez été directement exposé :
Dans ce cas, il peut être judicieux de suivre la procédure de démarrage, suivie du protocole 1000, qui est le protocole de 3 semaines prenant du MMS pendant 8 heures consécutives chaque jour. Ceci est décrit dans mon livre le MMS Health Recovery Guidebook, disponible ici : jhbooks.org
Pour tout le monde – si vous n’avez pas été directement exposé :
Selon les reportages sur la propagation du virus, si vous souhaitez renforcer votre système immunitaire et prendre des mesures préventives, je vous suggère de prendre une dose d’entretien quotidienne de MMS. Il s’agit d’une dose de 6 gouttes de MMS par jour, assurez-vous de ne pas en prendre en buvant du café, du thé, du jus d’orange, du lait, de l’alcool et des choses particulièrement riches en antioxydants. Cela fonctionne bien comme première chose à prendre le matin, puis attendre une heure avant de boire ou de manger autre chose. (S’il est trop fort sur l’estomac le matin, prenez-le à un autre moment de la journée, mais écartez-le des aliments et des boissons.) Un autre bon moment pour le prendre est avant le coucher.
Il y a un tableau de dosage dans le MMS Health Recovery Guidebook pour des directives sur la façon d’ajuster la dose d’entretien pour les enfants, selon leur poids.
Dans l’ensemble, les suggestions ci-dessus sont ce que je ferais pour le coronavirus. Cependant, voici une autre suggestion basée sur un rapport paru cette semaine. Cela implique de prendre du MMS plus fréquemment. C’est quelque chose que j’ai vu au fil des ans, c’est-à-dire que pour certaines conditions, prendre du MMS plus fréquemment que toutes les 10 ou 15 minutes pendant un certain nombre d’heures est souvent très efficace. Selon la condition, la dose serait assez faible, bien que parfois, elle doive être une dose plus élevée, encore une fois, selon la condition. Je l’ai fait moi-même pour diverses choses, comme une forte attaque de problèmes bronchiques et une toux extrême et des difficultés respiratoires, et le dosage fréquent pendant un certain temps a donné des résultats rapides.
Donc, je crois qu’il y a un temps pour que le MMS continue de fonctionner dans votre système à des intervalles de temps plus courts qu’une fois toutes les heures. D’après mon expérience personnelle, c’était toutes les 10 ou 15 minutes. Dans le témoignage ci-dessous, il a été administré toutes les 5 à 10 minutes, mais en plus petites quantités alors que l’homme sirotait le MMS, sans prendre une gorgée plus importante ou une dose complète de 120 ml.
Voici le témoignage d’un homme qui présentait des symptômes très graves de coronavirus :
L’homme a 85 ans et il a été confirmé qu’il souffrait de coronavirus. Il était mis en quarantaine à la maison, tous ses proches à la maison étaient également infectés, mais le vieil homme était dans un état très grave et sous oxygène – il était de loin le pire. On lui a donné une bouteille d’eau de 1 litre avec 20 gouttes activées de MMS. On lui a demandé de prendre une gorgée de la bouteille toutes les cinq minutes, mais de ne pas la laisser dépasser 10 minutes. Donc, toutes les 5 à 10 minutes, l’homme a bu une gorgée (pas une grosse gorgée, juste une gorgée) de la bouteille – c’est tout, mais il l’a fait fidèlement, toutes les 5 à 10 minutes tout au long de la journée jusqu’à ce que la bouteille soit finie, juste un sirotage à chaque fois. Après trois jours, il allait sensiblement mieux et a arrêté l’oxygène, donc sa dose a été réduite à 12 gouttes activées dans la bouteille d’eau de 1 litre et il en a bu, juste en sirotant, toutes les demi-heures. Il se rétablit rapidement – 90% de son état s’est amélioré, il a juste un léger reste de toux de temps en temps. Le reste de la famille qui a également pris du MMS est maintenant complètement rétablie.
Je dirais que c’est quelque chose que l’on pourrait essayer, surtout s’ils ont un cas extrême de coronavirus – je pense cependant que je le changerais en 24 gouttes de MMS activé dans la bouteille d’eau de 1 litre. Pour ceux d’entre vous qui connaissent le protocole 1000, veuillez noter que le protocole 1000 prend essentiellement 24 gouttes de MMS par jour. (Il s’agit de huit doses horaires, de 3 gouttes de MMS à chaque dose.) Dans le cas ci-dessus, l’homme prenait presque l’équivalent du protocole 1000, mais je crois que le prendre par petites gorgées et fréquemment, toutes les 5 à 10 minutes, était évidemment une clé pour lui pour faire fonctionner le MMS à travers son système à un certain rythme. Il a eu un cas de virus plus drastique, a montré des symptômes plus graves et il semble que le fait de prendre le MMS d’une manière plus constante l’a aidé.
En général, je préconise de prendre des doses fraîchement préparées de MMS chaque fois que possible. Mais cela n’exclut pas de manière générale d’autres possibilités, comme dans ce cas, une bouteille préfabriquée, qui a fonctionné pour cet homme. Il y a beaucoup à dire pour hydrater le corps, et il est connu que l’hydratation du corps fonctionne mieux dans de petites gorgées d’eau fréquentes, plutôt que de réduire votre quota d’eau quotidien en un seul coup (ou deux). Comment mieux s’hydrater en sirotant de l’eau plus fréquemment tout au long de la journée, et dans le cas de vouloir renforcer le système immunitaire, avec de l’eau additionnée de MMS.
Dans tous les cas, c’est un témoignage encourageant et certainement quelque chose à garder à l’esprit si vous ou quelqu’un que vous connaissez a un cas grave de virus. Bien sûr, si le même homme avait suivi les protocoles 6 et 6, suivis de doses horaires, les résultats auraient probablement été les mêmes – même si peut-être que siroter en plus petites quantités était plus facile pour lui. Écoutez votre corps et faites comme bon vous semble, si une chose n’apporte pas de résultats, passez à une autre. Comme pour tout autre protocole suggéré que vous pouvez recevoir de la communauté MMS, encore une fois, allez avec ce que vous pensez qui fonctionnera pour vous, mais s’il vous plaît, s’il vous plaît, faites très attention aux trois règles d’or du MMS.
S’il vous a été suggéré d’utiliser CDS, c’est de la solution de dioxyde de chlore, cela pourrait être OK et donc je ne dirais pas de ne pas l’essayer. Mais sachez que CDS est une forme différente de MMS. Nous avons vu que toutes les formes de MMS aident les gens à retrouver leur santé, mais moi et d’autres avons conclu que dans certains cas, ceux qui prennent des CDS peuvent avoir tendance à se retrouver dans une impasse dans leur rétablissement de santé, et ils doivent soit augmenter considérablement le montant qu’ils prenez ou passez à prendre les gouttes mélangées fraîches MMS1 originales. Je suggère d’utiliser CDS uniquement si vous ne disposez pas de MMS1. Veuillez consulter le guide de rétablissement de la santé MMS, annexe A, pour plus de détails sur la différence entre CDS et MMS1.
Un autre point est que certaines personnes ont demandé si le MMS2 (hypochlorite de calcium) est efficace pour éradiquer le coronavirus. À ce jour, je n’ai reçu aucun rapport de personnes l’utilisant avec le virus, cependant, si vous avez du MMS2 et n’avez pas MMS1, cela vaudrait certainement la peine d’essayer de l’utiliser, et à mon avis, il est très probable qu’il fasse le travail. Dans ce cas, suivez le protocole 4000, qui prend essentiellement 5 capsules (taille 1 ou taille 0) de MMS2 par jour. Prenez-les à deux heures d’intervalle. Remplissez les capsules avec un peu de poudre de MMS2 pour commencer, puis augmentez progressivement la quantité de poudre jusqu’à ce que vous atteigniez la dose complète si vous utilisez des capsules de taille n°1, ou jusqu’à ce que vous atteigniez ¾ plein pour les capsules de taille n°0. Lorsque vous prenez du MMS2, n’oubliez pas que les trois règles d’or du MMS s’appliquent, augmentez ou diminuez la quantité que vous prenez en fonction de ce que votre corps vous dit.
N’oubliez pas qu’il existe de nombreuses directives à prendre en compte lors de la prise de MMS1 et MMS2. Ce bulletin est déjà long, alors veuillez consulter tous les détails sur la façon d’utiliser le MMS, comment mélanger une dose, et à faire et à ne pas faire dans le MMS Health Recovery Guidebook. La Solution Minérale Maîtresse du troisième millénaire est également disponible et fournit des détails complets sur la création de votre propre solution MMS. Les deux livres sont disponibles ici : jhbooks.org
J’espère que cela sera utile. N’oubliez pas, continuez à faire la bonne chose et aidez-vous les uns les autres.
Pour votre bonne santé, sécurité et bien-être,
Jim Humble
Ceci est ma clause de non-responsabilité car il semble que tout le monde doit avoir une clause de non-responsabilité de nos jours : j’ai donné certains conseils dans la lettre e-mail ci-dessus. C’est le conseil que je suivrais moi-même si j’étais dans la même situation. Cependant je ne vous conseille ni à personne, de suivre mes conseils sans obtenir l’avis d’un professionnel médical. Chaque personne doit assumer la responsabilité de sa propre santé. Alors, faites ce que vous jugez le mieux.
J’ai trouvé un site internet pour acheter du MMS1, du CDS et DMSO !
Le dioxyde de chlore est un biocide pour le contrôle extrêmement efficace des bactéries, virus, champignons, spores, algues, acariens, parasites, biofilms et autres germes pathogènes tels que le dangereux Legionella.
Le dosage est facile, une goutte pour une goutte comme toujours. Il y a toutes les explications en français sur ce site, prenez le temps de lire.
Le prix est très raisonnable aussi.
J’ai aussi trouvé du CDS sur Amazon, à conserver au frigo, mais cela dure bien moins longtemps que quand on fait l’activation soi-même au moment d’utilisation.
Essayez ce fabricant et dites moi si vous êtes satisfait(e).
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